Sieste tropicale
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
fh,
fépilée,
vacances,
hotel,
Oral
... de la fourche de vos cuisses. Après cet afflux de désir brutal, auquel j’ai pu résister, je sais que je pourrai prendre autant de temps qu’il faudra pour vous réveiller tout en douceur. C’est pourquoi je poursuis ce jeu du foulard tranquillement et consciencieusement, parcourant chaque centimètre de votre peau, de vos pieds à votre cou, prenant un malin plaisir à m’attarder à la saignée du genou, au creux de vos reins, sur votre nuque. À chaque passage dans votre sillon fessier, vous vous tendez légèrement pour vous détendre encore plus ensuite, accentuant le fléchissement de votre genou, tandis que l’autre jambe semble s’allonger encore. Régulièrement je m’arrête de respirer pour vous écouter, mais je n’entends que votre souffle régulier, à peine perceptible derrière celui du ventilateur. Pas de doute, vous dormez profondément, et seul votre corps réagit à mes très douces caresses. Je ne compte déjà plus le nombre du passage du carré de soie quand je finis par changer de jeu. Je le repose sur la table de nuit, avec déjà une petite idée d’utilisation ultérieure. Je m’apprête à poser la main sur votre cheville quand je me ravise. Il manque quelque chose. Je me redresse, et je vais dans la salle de bain, à la recherche d’un produit qui correspondra à mon besoin. Il n’y a évidemment pas grand-chose dans ma trousse de toilette d’homme. Je suis prêt à faire demi-tour en ayant changé mes plans quand j’avise le flacon d’après-soleil. Pas l’idéal, mais ce sera parfait. En sortant ...
... de la salle de bain, je coupe le ventilateur dont le bruissement m’énerve, et dont j’ai peur qu’il vous refroidisse alors que je ne cherche qu’à vous échauffer. Je m’assois sur le lit, à côté de vous, fais couler une ration généreuse d’après-soleil dans ma main, repose le flacon et me frotte les mains l’une contre l’autre. Je ressens leur douceur, nettement accentué par le frottement du sable ces derniers jours. Ce sera parfait. Une fois la crème mise à température, je pose très délicatement la main sur votre mollet. Vous ne tressaillez même pas à ce contact. Ma main remonte un peu, toujours pas de réaction de votre part. J’ajoute une autre main, la dernière qu’il me reste, sur le même mollet, et j’entame un lent massage, très peu marqué tout d’abord, presque effleurant. Seul le poids de mes mains repose sur votre peau. Je remonte lentement vers la saignée de votre genou droit, votre jambe se détend un peu plus sous la très légère pression de mes doigts. Je prends mon temps, je repars en arrière, en avant, je gagne peu à peu toute la cuisse, prenant soin d’éviter les zones les plus sensibles. Je me déplace d’une jambe à l’autre, mais votre jambe fléchie ne permet pas un massage intéressant. Je décide donc très lentement de déplier cette jambe endormie, et je ne sens aucune résistance quand je l’allonge, laissant une légère séparation entre vos cuisses. Pas pour continuer à lorgner votre intimité, qui s’est refermée durant l’opération, mais pour me placer à genoux entre vos ...