Galipettes à l'anglaise
Datte: 30/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... des "oh" et des "ah". Quand Paul se releva et lui tendit sa bite à sucer, elle ne le repoussa pas. D'ailleurs, cela faisait un sacré bout de temps qu'elle n'avait pas sucé de bite. Elle lui trouva un manque de fermeté et décida de l'encourager à sa manière, à petits coups de langue sur le gland. Son entreprise commençait à obtenir un réel succès, qui pouvait préluder à une suite plus consistante, quand un magnifique dard surgit à côté de celui de Paul. Une tige lourde, épaisse, parfaitement décalottée, au gland gonflé. Mireille leva les yeux et rencontra le regard de John. Deux queues pour elle toute seule ! Oui, mais John... Elle chercha Janet, qui lui faisait face, prise en levrette par Jack. L'Anglaise lui fit oui de la tête (à moins que ce ne fût yes). Alors, Mireille n'hésita plus : elle emboucha le beau chibre du mâle anglais, tout en branlant celui (plus modeste) de Paul. Elle s'en mit plein la langue, plein les joues, plein la glotte. Une envie irrésistible de pomper cette queue l'avait saisie. Paul s'échappa et revint avec deux préservatifs : un pour lui et un pour John. "Voilà, ça y est, je vais passer à la casserole", se dit Mireille, que cette perspective n'effrayait plus. Elle se demandait juste comment ces deux là allaient s'entendre pour la satisfaire... Janet avait interrompu ses ébats avec Jack pour jouer les conseillères techniques. Elle plaça un matelas gonflable au bord de la piscine et invita John à s'y allonger. - Tu vas te coucher là et Mireille va ...
... venir sur toi, lui dit-elle dans sa langue, mais Mireille avait compris. Elle saisit également que Janet souhaitait la participation de Jack et de Paul. Trois ! Ils allaient la baiser à trois ! Le gros chibre de John, dressé comme un sémaphore, la fascinait. Une envie irrésistible de s'empaler sur lui la saisit. Il y avait si longtemps qu'elle n'avait pas été pénétrée... Guidée par Janet, elle s'accroupit au-dessus du chibre de John et descendit lentement. Elle sentit la main de Janet qui aidait son mari à s'enfoncer mais Mireille était si bien lubrifiée qu'elle se retrouva vite pénétrée jusqu'à la garde. Elle marqua alors un temps d'arrêt, comme pour permettre à la queue volumineuse de prendre possession de son intimité. Elle poussa un gros soupir, puis elle ondula. D'abord très lentement puis de plus en plus vite. Janet l'encourageait ("go, fuck") et elle se sentait parfaitement bien remplie. John lui caressait les hanches et les seins. C'est alors que Paul s'avança en se tenant la bite, courte et droite. Mireille comprit l'invitation. Tout en allant et venant sur John, elle goba le gland. Sensation inédite qu'elle savoura, de plus en plus électrisée. Mais ce n'était pas tout. Elle sentit deux mains se poser sur ses épaules. Celles de Jack, accroupi derrière elle. Sa queue glissait le long de la raie de ses fesses comme si elle avait été enduite d'un gel. Après avoir circulé plusieurs fois entre les deux globes, elle stoppa devant son anus. "Il va me sodomiser" se dit-elle. Ce ...