1. La vieille ouvreuse


    Datte: 20/06/2017, Catégories: fh, fplusag, inconnu, Oral préservati, pénétratio,

    ... j’étais, ni avec qui j’étais. Elle m’avait donné le feu vert et je devenais comme fou. J’avais très envie d’elle. De nouveau je cherchai ses lèvres, mais cette fois, elle ne se refusa pas. Elle laissa même rentrer ma langue tandis que je pétrissais son sein à travers le tissu. S’en suivit un long baiser en apnée, tandis que je m’évertuais à glisser fiévreusement sous son pull. Ma main trouva enfin l’entrée et remonta avec vivacité vers ses lourdes montagnes de chair, chaudes et accueillantes. Devant mon empressement, Julia retira bientôt son pull, de peur sans doute que je ne l’abîme, puis elle dégrafa son soutien-gorge. Sa lourde poitrine dévala majestueusement le long de son corps et c’est à pleines mains que j’en pris possession. Délaissant sa bouche, ma langue entreprit de satisfaire ses tétons. Ils étaient très réactifs, les bouts étaient déjà tout durs, ça me donna envie de les lui mordiller, ce qui lui arracha deux ou trois gémissements de bonheur. C’est alors que je sentis sa main tâter mon entrejambe. — Humm, c’est que ça a plutôt l’air bien rempli tout ça, Monsieur Jérémie, dit-elle avec un air coquin. Elle entreprit alors de défaire mon pantalon. — Voyons ça de plus près. Attisée par son corps, ma verge, une fois libérée, se déploya de suite majestueusement. Une colonne sans faille qui pointait vers ses lèvres. Sans hésiter une seule seconde, elle comprit le message et l’emboucha sans plus attendre, avec beaucoup d’envie. Elle ne suçait pas du bout des lèvres, ...
    ... comme les autres filles avant elle, elle pompait goulûment comme les salopes des films X. Les yeux grands ouverts, elle me défiait de sa voracité. Vraiment trop génial de la voir aussi cochonne, salace bibliothécaire. L’image sporadique d’une femme qui s’offre au milieu des bouquins me traversa l’esprit, suivie de celle du projectionniste en train de la baiser dans la salle poussiéreuse. Et c’est bientôt elle qui m’entraîne sur le sol, qui me fait coucher sur le tapis. Elle se débarrasse sans hésiter de ce qui lui reste de vêtements. À peine le temps d’admirer son épaisse forêt, tout juste celui de remarquer les touffes de poils sous ses aisselles, la voici qui enfile prestement une capote sur mon dard, trouvée je ne sais où, sur la table basse il me semble. Puis elle vient s’empaler avec avidité sur ma verge dressée. Il faut voir comme elle s’active, elle semble véritablement déchaînée. Ses coups de bassin montrent sa détermination et la force de son envie. Elle cherche le plaisir, elle accélère la cadence, elle module ses coups de reins en fonction de ses intimes sensations. Va-et-vient frénétique qui fait monter mon jus tandis que ses deux seins lourds ballottent sans complexe devant mes yeux effarés. Elle gémit, elle halète, elle se mord les lèvres de plaisir. S’en suit une série de soupirs plus profonds. Elle devient chienne, elle approche de la jouissance. Et, lorsqu’elle ressent les premières saccades de ma jouissance vibrer dans son antre, un long cri de jouissance ...
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