1. Diane et les douceurs automnales


    Datte: 05/09/2018, Catégories: fh, fagée, forêt, campagne, fsoumise, cérébral, Oral fdanus, fsodo, hdanus, init,

    ... au prétexte que le danger est passé. Ce petit jeu doit lui remémorer le temps des prétendants timides… Parfois, j’ai l’impression que c’est elle qui joue avec ma main. Les derniers mètres avant de parvenir à la maisonnette, nous les parcourons sans rien dire comme si nous étions, chacun de notre côté, tendus dans nos têtes, nos muscles et nos sexes. Une fois à l’intérieur, Diane s’est assise au bord du grand lit. Moi, à genoux devant elle, je feins d’examiner les dégâts en multipliant les palpations délicates. Je caresse la cheville, puis tout en l’interrogeant sur sa douleur éventuelle, je fais glisser mes doigts, un peu au début du mollet, puis les retire, puis reviens un peu plus haut, cherchant soi-disant à savoir si le nerf sciatique n’est pas déplacé… Diane ne dit rien et mes pouces atteignent presque son genou, sous la jupe. Elle se laisse aller sur le dos en poussant un petit grognement, et j’entends sa voix étouffée : — Tu as raison, il me fait un peu souffrir ce nerf ! Moi, docteur en médecine : — Vous savez qu’il parcourt la cuisse jusqu’au fessier ! Elle, émue : — Oui, oui, je sais, ça peut être douloureux… Sa voix est rauque. Mes mains avancent sur la peau tiède, Diane vibre, et dit : — Oh ! Oui, c’est sensible. Alors mon pouce progresse derrière la cuisse, atteint le slip. Je lui demande de se soulever légèrement pour suivre le nerf jusqu’au creux de la fesse, et elle ne résiste pas. Pire, elle se pose sur ma paume en disant : — J’ai senti le courant tout le ...
    ... long, ta main chaude me fait du bien… Je glisse alors l’autre main sous l’autre fesse pour équilibrer les flux, et je malaxe doucement ses chairs encore musclées… Diane ferme les yeux quand elle perçoit le glissement lent de sa culotte entraînée par mes doigts délicats. Je suis prêt à stopper ce geste qui provoque en moi des tensions extrêmes… Mais je n’entends que son souffle qui s’accélère, et jette le slip au sol. Je prends le temps de savourer les frissons qui parcourent le corps de Diane. Ce dernier est raide, dans l’attente de la caresse qui se fait longue à venir. La chatte salive et des gouttes perlent entre ses lèvres… Mes mains reprennent leur reptation sur les jambes de Diane. Elles remontent en même temps et, très lentement, soulèvent la jupe, découvrant les genoux puis le début des fuseaux des cuisses dont je caresse furtivement l’intérieur. Diane souffle un «Ah ! Michel » sourd qui augmente mon trouble déjà énorme. Je frôle timidement les poils pubiens clairsemés, le bas*ventre jappe à la lune à chaque passage. J’aventure un doigt sur les bords du sexe, il va doucement comme un rase-motte de pipistrelle à la tombée de la nuit. Diane gémit des «Ah ! Michel » et des «Hum ! ». Ses yeux sont mi-clos et ses lèvres serrées, quand un frisson devient plus fort que le précédent. Partagé entre tendresse et pulsions retenues, je pose ma tête entre ses jambes, une joue câlinant l’intérieur d’une cuisse. Ma bouche et ma langue titillent le derme qui se granule, alors que la ...
«1...345...8»