Diane et les douceurs automnales
Datte: 05/09/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
forêt,
campagne,
fsoumise,
cérébral,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
... boutoir, et que ses cris («Oui, oui, oui, ah, ah, ah ») décuplent mon ardeur sauvage. La vieille Diane est comme possédée. Elle éructe des obscénités, tandis que je la défonce, je la troue, je la percute au fond. — Crache, crache dans ma chagatte, bourre-moi de ton foutre ! crie-t-elle. Ah Michel, c’est trop bon de baiser ! Mon sperme jaillit dans sa matrice et je sens qu’elle jouit en même temps, car la forte odeur de son foutre atteint mes narines et me donne envie de pistonner même à vide. Car son jus provoque aussi mes oreilles par ses "flocs, flocs" et autres "sluurpp". Nous sommes écroulés et en nage, elle semble radieuse et croit m’avoir complètement satisfait, alors que je pense qu’elle mérite de faire encore une découverte, même à son âge. Mon sexe relève peu à peu la tête, il veut encore troncher. Je caresse les fesses de Diane, qui me tourne le dos. Elle se laisse faire, ma main glisse entre ses cuisses souillées, tandis que mon sexe rampe au chaud entre elles. Diane frémit en sentant sa raideur, elle laisse cette tige de chair glisser sur ses lèvres vaginales meurtries. Elle sent soudain sa raie culière envahie par le mandrin qui se frotte lentement aux fesses. D’une main, je m’assure que ses seins sont raides, preuve que pour elle cette aventure l’intéresse encore. ...
... Elle s’inquiète quand mon gland touche son œillet. — Que veux-tu faire Michel ? Moi, direct : — Vous faire connaître d’autres sensations en vous prenant là. Mon gland s’ajuste sur la rosette.— Oh, crois-tu que je vais jouir ? gémit-elle. Elle couine lorsque, pour toute réponse, je force son petit passage. J’écarte ses fesses de mes mains, tout en ouvrant délicatement les sphincters et en avançant mon gland avec précaution. Et voilà, ma hampe glisse dans son boyau. À genoux, c’est maintenant elle, Diane !, qui écarte, de ses mains, ses fesses au maximum. — Ah oui, que c’est bon de te sentir dans mon cul, baise-moi, fort, profond, aaahhh, j’ai mal et bon en même temps ! Je prends mon pied en la barattant lentement, profondément. Je fais durer pour mieux voir se réaliser mon rêve, faire l’amour total avec cette femme qui n’espérait plus rien de son corps. Le vertige gagne mon cerveau en raison de la suavité extrême de cet enculage et de la jouissance qu’éprouve manifestement Diane, qui demande plus de violence dans l’intromission de son boyau. Tout se termine dans la frénésie, je gicle, elle gueule comme une chienne et s’abandonne. Elle pisse contre mon ventre tout en dévorant ma langue en un profond baiser, et je fonds de bonheur. Lectrices, puis-je faire lire ce texte à la vraie Diane ?