1. Éveil à l'autre masculin


    Datte: 05/09/2018, Catégories: h, hh, jeunes, école, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, intermast, Oral hdanus, hsodo, init, confession,

    ... relevé la veste et dénoué le cordon blanc qui retenait le pantalon. Les pans écartés, elle descendit le long de mon ventre et contourna le sexe tiède pour se poser en conque sur mes bourses. Je commençais toujours mes caresses par la poche veloutée qui enveloppait les deux testicules que je faisais jouer sous la peau jusqu’à ce que celle-ci se rétracte lentement sous l’effet du plaisir. Je relevais à mon tour les jambes et, après avoir vérifié que mon voisin dormait du sommeil du juste, je dégageai mes fesses. Suivant un rite bien établi je repoussais le tissu du pantalon avant de poser sur mon ventre un mouchoir cueilli sous l’oreiller. Une fois cette préparation méticuleusement exécutée, j’empoignais de ma main droite mon sexe après avoir posé l’autre sur mes bourses. Les deux olives, poussées par la peau et la pression de ma main s’étaient logées à la base de la verge, signe que je pouvais entamer le branle libérateur. L’ardeur juvénile et la peur d’être surpris ne laissaient guère le loisir de lentes et savantes caresses. Avec la vigueur et l’enthousiaste énergie d’un pensionnaire pubertaire j’agitais frénétiquement ce cinquième membre, compagnon de solitude. À ma grande confusion, aux images qui habituellement accompagnaient mes séances masturbatoires – celles des jeunes filles en fleurs livrant sans pudeur leurs fesses et leurs seins à ma dévotion – s’imposaient celles obsédantes des cuisses ouvertes et du sexe turgescent de mon voisin de lit. Malgré mes tentatives ...
    ... pour imposer des images hétérosexuelles plus conformes aux canons imposés dans notre pensionnat, le gland pourpre et oblong de François hantait de manière quasi obsessionnelle mon esprit et, comble de surprise, décuplait mon excitation. En une vingtaine de robustes agitations, je sentis le flot opiniâtre monter le long de la colonne et jaillir de conserve avec le puissant jet de nacre fusant du méat de mon voisin. Le sperme tiède giclait en puissantes secousses et, adroitement dirigé, s’écrasait sur le carré de tissu tendu sur mon ventre. Sous l’effet du plaisir, je lâchais, malgré ma retenue, un petit gémissement, lorsqu’une voix chuchotée me tétanisa. — Ça fait du bien… hein ! Je rallongeai brusquement les jambes au risque de tacher le drap et tournai la tête vers mon voisin de lit. Je devinai son visage pâle tourné vers moi et son sourire mi-complice, mi-moqueur. Sans un mot, singeant le dormeur agacé, je me retournai vers la cloison de bois. J’enveloppai sans bruit le mouchoir souillé autour de mon sexe qui, malgré la surprise de cette interruption, refusait de baisser la garde. — Bonne nuit, dors bien, chuchota à nouveau la voix. Je m’endormis comme une souche, épuisé par la double émotion de l’éjaculation et de la gêne honteuse qui empourprait mon visage. Le lendemain matin alors que le surveillant, jeune séminariste frétillant, passait dans les allées en tapant dans ses mains et en tirant les rideaux, je me réveillai en sursaut et la première image qui me vint à l’esprit ...
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