1. Einstein (12)


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Zoophilie,

    Douche dorée ! La douche aussi savoureuse soit elle, n’avait pas apporté autre chose qu’un bien-être, une belle récréation à Victor. Pour Maryse, un court répit aussi dans cette soirée que la nuit recouvrait de sa noirceur de plus en plus profonde. Elle s’apprêtait du reste à passer sa nuisette quand l’homme l’avait interpellé. — Vous ne voulez pas que nous sortions un peu ? Juste prendre un verre dans un endroit qui bouge, un lieu peuplé pour noyer nos pensées dans la foule ? Instantanément elle notait ce « vous » revenu et réfléchissait à la meilleure réponse à lui donner. Devant sa moue dubitative, il croyait saisir qu’elle allait refuser ! Il crut donc de bon ton d’ajouter... — Nous irions dans un endroit choisi par vous et vous seule. Aucune crainte que je ne vous enlève et vous mène à cette soirée... ils doivent m’attendre depuis un bon moment du reste. Je vais devoir les appeler pour les rassurer et m’excuser pour l’empêchement... — Bon... alors dans ce cas, d’accord ! Allons au village, et nous trouverons bien un bar ouvert. Je vous laisse seul, le temps de passer une jupe et un chemisier. — Je vais en profiter pour... téléphoner ! — Si vous allez sur la terrasse, soyez gentil de faire rentrer Einstein, vous voulez bien ? — Oui ! À tout de suite... juste une chose, ça vous dérangerait de ne pas... mettre de sous-vêtements ? — ... ! La brune avait haussé les épaules sans répliquer. Il était sorti et le bruit des vantaux qui s’ouvraient en se refermaient, la ...
    ... renseignait sur le fait que sonamant était à l’extérieur de la maison. Une courte hésitation avant de ceindre une jupe relativement courte sur ses fesses, et de boutonner une chemise du genre de celles portées par les cowgirls dans les westerns. Une autre incertitude alors qu’au bout de ses doigts fins se balançaient le soutien-gorge et la culotte en dentelle, pour finalement les remettre sur l’étagère. — oooOOooo — La voiture silencieusement filait sur l’asphalte éclairé par les phares. Le bar du Nord où ils avaient pris un pot était ce soir bondé. Nombre de paires d’yeux avaient suivi les courbes de Maryse. Mais Victor inspirait le respect et aucun de ces types qui devaient l’envier n’avait fait un geste. Seuls les regards chargés de désirs, lourds de regrets s’étaient faits pesants sur la croupe incendiaire de la femme. Si en plus ils avaient tous su... qu’elle était nue sous sa jupe ! Charmant, Victor en homme galant avait offert les verres. Puis lentement, main dans la main, ils avaient un long moment flâné sur les quais de la Moselle, qui traversait sous la lune le centre de la ville. Sur le pont du petit canal servant aux kayakistes, il l’avait gentiment embrassée et elle avait trouvé cela plutôt flatteur. Mais il n’avait à aucun moment tenté de profiter de cette nudité qu’il avait recommandée. Puis après une bonne demi-heure de promenade, dans ces rues passantes, ils reprenaient le chemin de sa maison. Il ne demandait rien, ne posait aucune question se contentant de profiter de ...
«1234...7»