Einstein (12)
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... et de se voir épier n’avait fait que renforcer sa réaction. — oooOOooo — wtfweenz Elle en voyait un s’approcher de Victor et lui parler à l’oreille. Il relevait la caboche une seconde et secouait celle-ci d’une façon positive. Alors l’autre disparaissait, comme happé par la nuit. Mais son lécheur lui reprenait son assaut lent sur la faille qui suintait de bonheur. Pourtant, il bougeait d’une drôle de manière depuis l’intervention du type. De chaque côté de la voiture, les deux branleurs solitaires aussi s’étaient un peu rapprochés. Elle ne pouvait, malgré le peu de visibilité, manquer de voir leurs queues tendues. Et quand en poussant comme un gémissement rauque Victor l’abandonnait de la bouche, l’un d’entre eux lui avait immédiatement pris la main. Il avait plaqué la patte de Maryse sur son vit gonflé et sans vraiment se rendre compte de ce qu’elle faisait, elle reprenait le flambeau en astiquant sans retenue cette bite tendue. Le troisième larron avait bien senti aussi qu’elle ne renâclerait sans doute pas. Et il lui caressait la joue gentiment. Quand elle tourna la tête, le sexe de ce dernier gaillard se retrouvait à ras de ses lèvres. L’odeur de sexe s’imprégnait dans ses narines. Mais elle avançait toute seule le cou, pour gober un gland assez gros. Cette fois, c’était le comble. Léchée par son compagnon de la soirée, elle en branlait un autre tout en suçant le dernier. Enfin le dernier... pas tout à fait, car comme son chauffeur venait de se reculer, elle entrevoyait ...
... que le manquant était à genoux sur le chemin, se livrant à la même occupation qu’elle, mais sur la queue de son complice. Cette image lui envoyait une décharge d’adrénaline et elle partait pour un orgasme sans précédent. Une fraction de seconde, son esprit lui criait que sa conduite devenait inqualifiable. Cri vite perdu dans les profondeurs de la nuit alors que le bi qui venait de s’occuper de la bite de Victor marchait vers elle maintenant Elle savait que ce dernier allait la prendre là, sur le capot de la bagnole et pourtant aucun son, aucun mot de refus ne venait perturber les soupirs qui remplissaient les alentours. L’autre la limait déjà et de sa main qu’elle venait de libérer de la quéquette masturbée, elle venait s’enquérir de la présence d’un préservatif sur la gaule qui la pénétrait. Elle eut comme un gémissement de satisfaction de savoir que le type s’était protégé, elle se laissait partir dans les méandres d’une jouissance qui lui faisait perdre le fil des opérations. — oooOOooo — Souillée par les spermes de ces trois mecs inconnus, elle se précipitait de nouveau sous sa douche dès son arrivée à la maison. Einstein était sur ses talons ainsi que Victor et l’endroit avait beau être vaste, il était à peine assez grand pour les contenir les trois. Seul Victor était entré sous le jet en sa compagnie, le chien lui, restait méfiant vis-à-vis de l’eau. Elle ne laissait pourtant pas l’homme la tripoter comme il l’avait fait lors de leur passage précèdent. Cette fois, dès ...