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Einstein (12)
Datte: 06/09/2018, Catégories: Zoophilie,
... hanches, il l’entrainait vers la voiture. Elle pensait qu’ils allaient refaire l’amour sur les coussins de cuir de la banquette arrière très spacieuse. Mais non, pas du tout. En deux temps trois mouvements, il l’avait soulevée sur le capot encore chaud de la grosse cylindrée. Il avait rapidement plongé sa tête dans ce compas vierge de coton. Il bavait sur sa fente. Allant et venant comme un affamé, suçant autant que léchant les dernières gouttes de ce liquide qu’elle avait éjecté d’elle. Les mouvements de Victor n’étaient plus du tout ceux d’un homme bien élevé et il soulevait de temps en temps sa bouche pour marmonner des mots qu’elle ne voulait surtout pas comprendre. — Tu ne veux pas m’en donner encore un peu ? Pisse juste une goutte ou deux ! S’il te plait. Je t’en supplie, juste pour je te savoure dans ce que tu as de plus précieux. Il s’y prenait bien mal, mais arrivait toutefois à lui donner un semblant de désir. Et cette fois pourtant, elle n’était pas envoutée par la voix du bonhomme. Non ! C’était sans doute la situation, la demande plusieurs fois répétée de Victor qui lui barbouillait le ventre. Mais elle ne savait pas uriner à la commande. — Tu ne veux pas m’en offrir un peu de ton champagne ? — Je ne sais pas faire cela et votre demande me coupe mes derniers effets ! Plus vous réclamerez et moins je saurai vous satisfaire... — Tu as raison. Mais tu me garderais la nuit et la miction du matin, me l’offrirais-tu ? Tu comprends, ça me rend... raide dingue. — Je... ...
... je ne sais pas si ce serait possible. Je n’ai pas... enfin jamais personne ne m’a... vous voyez, demandé ce genre de truc ! — Je comprends, mais tu oserais ? Tu ne voudrais pas essayer ? Je te promets que jamais plus je ne te redemanderai ce genre de truc. Ça me rend... fou de t’avoir entendue pisser là tout près de moi, comme ça, sans te cacher et mes vieux démons se sont réveillés. Sans se préoccuper de la réponse, il avait repris ses va-et-vient de la langue, s’enivrant littéralement à la source de ces quelques restes d’un liquide qu’elle jugeait peu noble. Il allait si loin en elle de la pointe salivée qu’elle tressaillait à chaque passage de la bête humide. Il grognait aussi et ça résonnait dans la tranquillité de la nuit tombée. Elle se laissait embarquer par ces manœuvres douces et intimes, fermant les yeux pour savourer la caresse. Un bruit bizarre la faisait soudain redescendre sur terre et en ouvrant juste une paupière... ce qu’elle entrevoyait lui fichait la trouille. Autour d’eux, comme sortis de nulle part, au moins trois mecs se masturbaient en suivant la scène qu’elle et son compagnon offraient. Mais il était déjà trop tard pour se soustraire à ces vicieux qui se tripotaient la queue pendant qu’elle se faisait lécher la chatte. Malgré sa peur, elle ne disait rien, se contentant de haleter sous les passages de la baveuse. Victor lui avait aussi enfoncédeux doigts dans le minou et les bougeait comme s’il s’agissait de sa pine. Le plaisir trouble montait en Maryse ...