Einstein (12)
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... étendue, sans broncher, alors que l’homme lui s’activait au centre de la source. Il soufflait plus fort et ses doigts aussi venaient d’entrer dans une ronde qui n’avait d’autre but que de lui donner à elle un immense plaisir. Il y réussissait plutôt pas mal. Son ventre à elle était pris de soubresauts que rien n’aurait pu retenir. Et elle gémissait en se mordant la main. Alors elle le laissa s’étendre sur elle. La position du missionnaire avait du bon pour le matin au réveil. Il faisait le boulot et Maryse gardait le plaisir. Il était en elle et Einstein se tenait sur le côté, attendant sans doute qu’on le laisse monter aussi sur le lit pour se joindre à la fête. Mais il n’y serait pas convié ce matin. Le visage de Victor se frottait à celui de la brune et la barbe crissait un peu en râpant la joue. Elle enfonçait sa tête dans le cou du gaillard, évitant les frôlements trop nerveux des poils sensés rendre virils les messieurs. Il ahanait sur elle, se démenant comme un beau diable, sans pour autant arriver à la faire grimper plus vite aux rideaux... mais bon ! C’était aussi sans doute sa faute à elle ! Elle ne faisait rien pour faire venir la jouissance. Non, c’était bon sans plus. Elle adorait être prise, bousculer, mais il s’avérait être lourd, et ce poids sur le ventre la compressait bien plus qu’elle ne l’aurait voulu, rendant moins bonne cette possession matinale. Et puis, elle avait aussi la vessie pleine et... là, ça devenait presque impossible à soutenir. Pourtant ...
... Victor y mettait tout son cœur et autre chose aussi. Il s’évertuait à la pistonner avec de larges déhanchés, mais il n’était pas maitre de la situation — Attendez ! Attendez, s’il vous plait. Il faut que je me lève une minute... — Oh ma belle vous avez envie de... vous voulez bien que je vous accompagne ? Une seconde d’hésitation et comme il s’était laissé rouler sur le côté, elle se remit sur ses pieds. Einstein pensant que c’était pour lui qu’elle avançait jappait joyeusement. Elle se dirigeait vers lestoilettes alors que Victor lui la tirait vers la douche. Comment avait-elle eu l’idée folle de le laisser faire ? Il venait de se coucher sur réceptacle de l’eau et elle était au-dessus de lui, les jambes passées de part et d’autre de son corps. — Baissez-vous ! Vous voulez bien ? Approchez votre chatte de mon visage ! Le chien était derrière elle et lui flairait le cul. Elle le repoussait de la paume de la main tendue. Alors comment pouvait-elle une fois de plus suivre les instructions de ce malade qui attendait son obole ? Incroyablement, inexplicablement, elle venait de s’accroupir et elle devait presque faire un effort pour que sortent les premières gouttes. Mais quand elles commencèrent, plus rien n’aurait pu stopper le geyser qui dévalait de ce ventre comprimé par l’envie Victor avait les yeux fermés, elle le voyait bien, mais il gardait la bouche ouverte, et la rosée matinale coulait dans celle-ci alors que son sexe se dressait sans aucune aide extérieure, sans assistance. ...