1. Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ! Je suis encore raide en toi mais nous finissons par basculer sur le côté. Nous sommes dans la position de la cuillère, tes globes fessiers moulés contre mon ventre, mon sexe logé entre tes fesses (hélas il est sorti quand nous avons basculé). De ma main gauche je viens me saisir d’un de tes seins que j’englobe, le téton pincé entre deux doigts. Nous restons ainsi de longues minutes, retrouvant progressivement notre calme. Avons-nous sommeillé ? Nous réalisons qu’il est bientôt 14 heures et que si nous voulons manger au restaurant de l’hôtel, il nous faut nous presser un peu. Nous passons vite fait dans la salle de bain et nous nous habillons. Tu es magnifique, tu portes un ensemble aux teintes mordorées rappelant les couleurs de l’automne mais qui va très bien avec tes yeux verts. La jupe arrive un peu au dessus du genou ce qui laisse apparaître une belle longueur de tes jambes. Aux pieds, tu portes des bottines en daim avec des talons hauts qui font ressortir le galbe de tes mollets et la cambrure de ton dos. Quelle n’est pas ma fierté lorsque nous entrons dans la salle de restaurant, ton bras droit amoureusement passé sous mon bras gauche. Tu es si attirante que nombre de regards se tournent vers toi, certains admiratifs, d’autres avec une lueur d’envie ou de jalousie. Je ne sais ! DIANE : Bien sur, tu me connais ! Oui, moi qui ai dansé toute ma vie, j’aime attirer les regards. Mais il est une dimension supplémentaire aujourd’hui. J’aime être accrochée à ton bras sure de ...
    ... moi et quelque peu fière de me pavaner près d’un homme élégant, plus âgé que moi…, j’aime laisser deviner à qui le veut bien la reconnaissance que j’ai pour toi de ce plaisir que tu viens de me donner. J’aime savoir que tout le monde peut lire sur mon visage la tendresse et la force avec laquelle tu viens de me faire l’amour. Et j’aime ça, parce que tout simplement j’en suis fière ! J’aime aussi ton élégance alors que tu tires ma chaise pour me permettre de m’y asseoir. J’aime ton sourire serein alors que tu t’installes en face de moi. J’aime l’empressement du garçon de salle à venir nous saluer. J’aime ta réponse distinguée. Je me contenterai moi de sourire en baissant le menton ! Oui c’est certain, je suis à toi. MOI : Que t’arrive-t-il ? Toi que je commence à bien connaître, tu baisses les yeux. Toi, l’amante ardente, tu deviens timide ? C’est vrai qu’en y regardant d’un peu plus près, on distingue dans le regard des hommes qui nous entourent une lueur d’envie. De te posséder ou de jalousie à mon encontre ? Moi avec mes 50 ans bien sonnés et toi jeune femme dans la plénitude de la trentaine, nous faisons des envieux ! Je ne vois que toi et sans cesse, je pense au bonheur que tu me donnes. Le repas, rien que de mets succulents et reconstituants, est assez vite expédié. Tu me proposes de me faire découvrir la région. Nous prenons la route côtière et sans nous presser nous admirons le paysage. C’est vrai que la région est belle sous le soleil printanier. Sur tes indications, ...
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