Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - WE à Deauville
Datte: 06/09/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... nous laissons la voiture en bord de route et nous descendons vers la plage par un beau sentier bien large. Bras dessus, bras dessous, nous marchons lentement en savourant ces merveilleux instants que la vie nous offre. Contre mon bras, je sens la douce chaleur pesante de ton sein droit. Que je suis bien ! Quel sort m’as-tu jeté ? Quel filtre aphrodisiaque m’as-tu fait boire ? Nous arrivons au bord de l’eau. La mer est étale et les vagues légères viennent se briser sur les galets. Une fois encore, nous profitons de la solitude pour nous enlacer. Tu te presses contre moi, je sens tes seins contre mon torse. Mes bras autour de toi, les mains à hauteur de tes reins, je colle ton corps contre le mien. Tu ondules des hanches et je sens ton pubis contre le mien qui entreprend un savant massage. Tu te loves contre moi. Tu ronronnes déjà. Tes mains glissent sur mon torse par ma chemise entrouverte. Tu es excitée et ta langue à son tour parcourt ma poitrine, s’attarde sur mes tétons. Tu les lèches d’abord puis les saisis délicatement entre tes dents. Je tressaille sous cette caresse. Je bande. Alors, sans lâcher les tétons sur lesquels tu fais une obsession, tu défais ma ceinture et tu glisses ta main droite sur mon sexe déjà gonflé. Tu le caresses furtivement d’abord … Tu promènes tes doigts agiles de mon gland qui durcit à mes couilles rebondies. Je laisse descendre mes mains jusque sur tes fesses et je te plaque contre moi encore plus fort. Mon désir de toi se manifeste à nouveau. ...
... Insidieusement, je remonte ta jupe et bientôt tu te retrouves le cul à l’air, seul le cordon de ton string le couvre. Coquine, comme d’habitude tu ne portes pas grand-chose pour couvrir cet endroit. Est-ce une invitation. J’ai faim de toi. Je ne suis pas encore rassasié. Je te guide vers un endroit où nous serons un peu plus à l’abri des regards indiscrets (cependant je ne pense pas que nous serions gênés d’être surpris ou observés). Rapidement tu défais le zipper de mon pantalon et tu libères mon sexe de mon boxer. Tu gobes le gland pour achever ma bandaison. Lorsque je suis à ton goût, tu t’appuies sur un rocher en me tournant le dos. Ta jupe remontée sur tes reins, je ne prends pas le temps de baisser ton string. J’écarte le cordon et, d’une longue poussée lente, je te prends la chatte. Mon ventre collé contre tes fesses, je reste ainsi quelques instants, savourant la douce chaleur de ton fourreau humide. Nous sommes bien ainsi. Je commence le mouvement alternatif qui progressivement va nous amener au point de non retour. Je sens ma bite de plus en plus dure et longue. Le spasme ne va pas tarder mais je veux encore savourer ces moments. De ton côté, tu exprimes ta satisfaction par des soupirs de plus en plus forts. Pour mieux me sentir, tu roules de la croupe et tu masses mon gland de tes muscles intimes. Ça y est ! Je pars ! Tu le sens et à ton tour, tu exhales ta jouissance. Je déverse un jet de sperme dans ton fourreau en te disant combien c’était bon de te baiser ainsi. ...