Laure, ma petite fille
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
ff,
telnet,
amour,
volupté,
revede,
intermast,
Oral
uro,
ecriv_f,
... tangue et m’accroche. — Ton bouton si petit ma Laure, si délicat. Viens me le donner. Elle lance son bassin vers moi. Pas de poils sinon une petite touffe blonde sur le pubis. J’y mets les doigts, la langue, ma salive, mes dents, caresse l’anus, m’y enfonce. — Non, pas tout de suite… Viens vers moi, viens, me dit-elle… Nous nous faisons face. Je vois ses yeux pétillants, ses cheveux ébouriffés, la forme ronde son ventre et de ses seins. — Ma petite fille, si belle, mieux qu’un rêve et…— Chut… Elle passe un doigt sur mon visage, sur la joue, sur le nez. Je sens l’odeur de ma mouille.. Nous ne nous sommes pas encore embrassées. Nous savons que c’est le moment. Elle approche alors ses lèvres, penche son visage vers le mien, je reste stoïque, distante, un petit baiser tout d’abord puis vite sa langue parcourt les miennes et y dépose mille petits baisers… — Embrasse-moi… Je ferme les yeux, m’abandonne. Sa langue chaude, ses lèvres douces… J’entends son cœur qui cogne à moins que ce soit le mien. Un baiser brûlant qui continue, qui s’emballe. Je ferme les yeux, fouille, me glisse, attends l’éternité. C’est elle qui l’arrête mais elle revient aussitôt, nos bouches enfin réunies et ses mains sur mon dos, moi dans ses bras. Ses bras protecteurs, qui me rassurent. — C’est drôle d’être là avec toi, me dit-elle.— Drôle, quel mot… Et elle repart le long de mon corps, y dépose baisers et caresses, coups de langues et de dents, alternant la douceur et la dureté, devinant ce que j’aime, ne ...
... le sachant pas encore moi-même. Mon sexe encore ouvert comme une fleur. Le sien odorant du désir qu’elle me porte. — Ton corps m’enivre, sa fragilité peut-être… J’ai envie que tu jouisses, que nous jouissions ensemble, que tu cries… que tu te souviennes de moi, que tu m’aimes un peu… Elle me caresse, d’une main, mon sexe ouvert, pour elle, mon clitoris tendu jusqu’à rompre ; l’autre portée vers elle, disparue entre ses cuisses. À genoux, à côté de moi, les seins tressautant, pointes tendues, dures à exploser. Son visage repose sur son épaule, ses lèvres sont gonflées, sa bouche légèrement ouverte. Elle me frotte le sexe durement, s’applique le même traitement. Je caresse maladroitement ses seins, halète, écarte comme une folle mes cuisses, porte ma main à sa rencontre. Elle m’abandonne, se triture les bouts des seins pendant qu’elle se masturbe. Je regarde ce corps, la force et la présence qui s’en dégagent. Elle est ailleurs, son regard se vide en se fixant sur moi avec plus d’intensité. Elle pousse un grognement et s’abat tout d’un coup… sur moi puis rit avant de se projeter sur mon sexe qu’elle dévore doucement. C’est à mon tour. Son visage perdu entre mes genoux remontés, ses cheveux qui me chatouillent, sa langue captivante m’arrache un cri et un soupir. Je viens dans sa bouche, me libère et coule. Mon cœur à me tuer, une danse folle, un spasme qui me déchire les entrailles. J’en veux plus, plus longtemps, autrement, ensemble. Toucher sa chatte avec la mienne, mettre ma ...