Laure, ma petite fille
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
ff,
telnet,
amour,
volupté,
revede,
intermast,
Oral
uro,
ecriv_f,
... langue partout, la sucer entièrement, la recouvrir de bave et de mouille. La prendre et qu’elle m’aime, que la vieille lui apprenne ce que baiser veut dire. Elle repose maintenant sur le ventre l’air las. Je la chevauche. Je m’assieds sur ses fesses, ma liqueur se répand, nos odeurs envahissent ma chambre. Je lui masse doucement les épaules. Je suis si maigre à-côté d’elle, ses hanches larges, ses cuisses épaisses, ses jambes de Maillol, son buste de chair et de sang. Je m’allonge tout à fait, le visage dans son cou. Elle me pousse, se retourne, me donne un coup de reins, de ventre. je me fonds en elle. Ma bouche va vers la sienne, la force un peu. Ma langue aspire la sienne, je la suce, suçote ses lèvres. Elle tient mon visage dans ses mains, tire un peu mes cheveux gris vers l’arrière de mes oreilles me fixe, et m’embrasse : langue sur mon nez, mes yeux, langue dans mon oreille, petits cris murmurés, des cris qui alimentent mon feu. — Laure, ma douce, ma folle, aimons-nous encore… Reste encore…— Non, je dois partir mais viens que je te bouffe, ton odeur dans mon nez, je t’emmène… Et la voilà encore la langue fichée en moi, ses doigts qui courent dans mes trous, bouche et cul, minette ouverte, haletante, aimante, captive. Laure qui n’en finit pas de jouer avec mon corps. Nous roulons l’une sur l’autre, nous roulons jusqu’à jouir encore l’une pour l’autre. La salle de bain… Elle est nue derrière moi. J’ai passé un peignoir pour qu’elle ne me voie pas debout et nue. Ses seins ...
... cognent mon dos. Elle me dépasse, elle sourit, se caresse nonchalamment la pointe d’un de ses seins et en fixant nos reflets dans le miroir elle écarte un pan de mon vêtement dévoilant mon mamelon. Elle le caresse, le pince jusqu’à le faire réagir. Elle me fait un peu mal mais je ne dis rien, confuse et la tête baissée. — Regarde-nous !— Tu es belle !— Peu importe ce que je suis. Nous allons bien ensemble. Regarde nos seins, ton ventre. Elle passe sa main dessus, descend vers mon sexe. — J’ai encore envie que tu jouisses, te baiser là. Me mettre sous toi, te laper comme une petite putain, que tu me coules dessus… Elle enfonce un doigt… — Je vois que cela te fait de l’effet, laisse-moi faire. Elle s’agenouille. Je m’accroche au lavabo, pose un pied sur le tabouret. Sa langue exige. Je m’écarte, elle me brûle. J’ondule sur sa bouche et me regarde… Moi Suzanne, la cinquantaine, gémissant sur la bouche de mon amante, incapable de résister au bien qu’elle me fait. — Touche-toi les seins, caresse-toi… Je me regarde dans le miroir. Je vois une femme, moi, tout à son plaisir, une main qui se triture les tétons, l’autre qui caresse brutalement les cheveux d’une jeune femme. Sa langue s’active, elle me suce, m’aspire. Je sens mes jambes me lâcher, elles tremblent cela vient du ventre, violemment, une jouissance intense, brutale, une libération… Laure se retire, je tombe à genoux, et laisse filer entre mes cuisses un filet de pisse que je n’arrive pas à retenir… Je ferme les yeux, les ...