1. Laure, ma petite fille


    Datte: 07/09/2018, Catégories: ff, telnet, amour, volupté, revede, intermast, Oral uro, ecriv_f,

    ... pustules !— Oui, tu veux voir ? D’un coup, elle soulève son pull et se libère un bras. Regarde, ici, des boutons… Follement engageant, tu ne trouves pas ? Évidement je ne vois rien sinon un sein tout rond, une épaule ronde aussi, une gorge veloutée. Elle se rapproche de moi. — Si, il a quelque chose… Tu ne vois rien pour me faire plaisir. Et puis nous avons parlé. Elle s’est mise sur mon lit et je me suis rapprochée d’elle. Et là, elle m’a dit que nous allions dormir ensemble, qu’il ne se passerait rien mais qu’elle voulait goûter ce moment incroyable : l’abandon de soi dans le sommeil, la confiance que cela exigeait de personnes qui ne se connaissaient pas. Elle a retiré son pantalon sous lequel elle ne portait pas de culotte et s’est glissée sous les draps vêtue d’un petit haut moulant ses seins. Et puis elle a sombré. J’ai regardé cette grande fille ; j’ai pensé la réveiller de mes caresses mais n’ai pas osé. J’ai souhaité un moment avoir le courage d’aller dormir ailleurs, mais me suis étendue à côté d’elle. J’ai alors dû m’endormir. Elle couvre son corps du mien. Petite contre son sein qui me caresse. De la volupté tout le corps. Ses mains posées de chaque côté, son corps posé, léger, tout contre mon dos, qui m’enveloppe. Son pubis contre mes fesses, le chatouillement des poils, ses seins aux pointes douces qui caressent mes omoplates. Va-et-vient. Son souffle aussi contre mon cou, ses lèvres tantôt dures et molles, petits baisers qui dégringolent de mon oreille à ...
    ... l’épaule. Et puis un arrêt. Son visage, sa joue chaude qui glisse sur ma colonne. Elle m’enveloppe, me couvre, je disparais sous elle mais je ne sens pas son poids. Un râle passe entre mes lèvres, je gémis. Elle se lève, se redresse, se désengage. Je suis intimidée, cache mon visage sous l’oreiller. Je la devine assise à côté de moi. Elle passe maintenant ses longs cheveux blonds sur mes fesses, écarte doucement les lobes, glisse un doigt vers mon oeillet. — J’aime les trous du cul, c’est doux, lisse. Incroyable, je gémis encore. Laure doit comprendre mon envie et ma réticence. — Tu es plus serrée qu’une pucelle. De quoi as-tu peur ? Laisse-toi faire, me dit sa voix tendre. Elle est en tailleur. Sa main flatte ma hanche, remonte la peau moins tendue que la sienne. Elle me malaxe les fesses. — Ton cul est plat, tu as un cul de mec… Chacune des fesses tient dans ma paume de main… Je pourrais presque les mettre dans la bouche entièrement, te les croquer, croquer ton cul, te mordre, te faire hurler… Écarte te dis-je, ouvre-toi. Petite salope, folle. Pourquoi me dire ceci. Nos corps séparés, si différents. J’écarte courageusement les cuisses. Elle se met alors entre mes deux jambes et entame un massage des mollets. — Ma jambe comme ta cuisse. Mon ventre comme tes fesses… N’est-ce pas merveilleux cette diversité. Tu es si belle Suzanne, si belle, si grave… si sérieuse. Un doigt qui court de mon cul à ma chatte, petite Laure. «Encore«, je mords l’oreiller, un soupir et mes cuisses ...
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