1. Deux anglaises en Périgord rose


    Datte: 07/09/2018, Catégories: fh, ffh, bizarre, BDSM / Fétichisme pénétratio, fantastiqu,

    Dans un virage la voiture fit une embardée, mordit sur le bas-côté. Un violent chaos secoua le véhicule. Je donnai un coup de volant pour redresser ma course. L’orage grondait. Un éclair aveuglant déchira l’air juste devant moi. La radio jouait un vieux John Lee Hooker…… Doucement, rien ne presse, je ne suis pas en retard. La route était déserte. Elle sinuait entre les maïs et les noyers. J’apercevais, en contrebas dans la vallée, le château objet de ma visite. Il pourrait peut être figurer dans notre guide touristique s’il en valait la peine. Voilà, j’y suis ! La bâtisse était imposante, gros cube de pierre flanqué de deux tours. La lourde porte s’ouvrit quelques secondes après que j’eus frappé. Deux femmes se tenaient debout dans l’entrée. L’une était grande, brune, fine, le visage plutôt osseux. Elle était habillée de noir de la tête aux pieds. L’autre, petite boulotte bien en chair, était tout de rose vêtue : son foulard de soie, son corsage diaphane, sa petite jupe courte plissée, ses bas ; ses escarpins et même sa chevelure frisée, tout était rose. Un vrai bonbon. Elles m’accueillent avec un grand sourire chaleureux. Le bonbon rose s’adressa à moi avec un délicieux accent anglais. — Vous venez pour la visite ? Entrez donc ! Elles m’entraînèrent à travers un long couloir dans un petit boudoir meublé très chaleureusement. — Vous savez, ces vieilles demeures coûtent des fortunes à entretenir. Il nous faut refaire la toiture, consolider les fondations, restaurer les ...
    ... peintures… Nous allons être obligées d’ouvrir la nôtre au public. La voir figurer dans votre guide serait un plus indéniable. Nous avons vraiment besoin d’argent, par tous les moyens !— Laissez moi vous débarrasser. Donnez-moi votre veste. Marie Rose, tu nous prépares le thé ? La grande brune mit ma veste dans un placard où je crus apercevoir furtivement une douzaine de blousons, manteaux et vestes accrochés à des cintres. — Suivez-moi, nous allons faire le tour du propriétaire. Elle m’entraîna à travers de longs couloirs, me montra des lits à baldaquin, des sols en marqueterie, des tapisseries murales, une vielle armure, bref, tout ce qui fait le charme des vieilles demeures. En passant devant une lourde porte en chêne bardée de ferrures, je crus entendre comme un gémissement. — Et là ?— Ho ! Cette porte est condamnée, elle mène aux oubliettes. Personne n’y va jamais, sauf les rats, peut être ! Il me reste à vous montrer la tour et la vue magnifique que l’on y a de son sommet. Elle s’arrêta au pied d’un étroit escalier de pierre en colimaçon, se pencha, prit le bas de sa robe à deux mains et releva le tout sur ses hanches. — Je me suis déjà cassée la figure avec ma robe longue dans ces escaliers. J’espère que je ne vous choque pas ? Son ton était moqueur. Pendant toute la montée je pus admirer à loisir une paire de fesses musclées dans une petite culotte de satin blanc. Elle se tortillait à chaque marche, dévoilant sa fente à hauteur de mon nez. Je voyais le satin s’humidifier au ...
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