Deux anglaises en Périgord rose
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
bizarre,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
fantastiqu,
... fur et à mesure de l’ascension. À l’arrivée, j’étais passablement essoufflé et particulièrement excité. Sa robe toujours dans les mains elle se pencha à un créneau. — La vue est magnifique ! Ça oui, la vue était magnifique. Elle avait légèrement écarté les jambes, offrant sa croupe à mon regard. — Ça vous plait, darling ? Enlevez donc ma culotte ! C’était direct, mais avait le mérite d’être clair. Je fis glisser le bout de satin tout humide en bas de ses longues jambes. Machinalement, je le glissais dans ma poche. Puis, déboutonnant mon pantalon, j’en sortis un membre dur et gonflé de désir, décalotté et lubrifié à foison. Je me collais à son cul puis ma main dirigea ma verge vers sa vulve offerte. Le gland pénétra sans effort le sexe trempé. J’agrippais fermement ses hanches, puis d’une vigoureuse poussée, fis disparaître mon membre au plus profond de ses chairs. — Ho my God ! Poussez darling! J’entamais un furieux va-et-vient. L’excitation était telle que je me comportais comme un lapin, tapant et retapant mes couilles contre son cul à chaque pénétration complète. Elle devait être dans le même état que moi, ses hanches montants et descendants en cadence. Il fallait que je jouisse !!! Nous eûmes notre orgasme pratiquement simultanément, nos corps secoués de spasmes violents, mon sperme inondant par saccades son vagin déjà trempé. Rapide mais intense !!! Elle relâcha sa robe qui lui recouvrit les pieds. — Darling, vous êtes très chou ! Redescendons vite, Marie Rose doit ...
... s’impatienter… Effectivement, Marie Rose était contrariée : — Lisbeth, le thé est froid ! Tu n’as plus qu’à aller en refaire. Prenez place, cher ami. Une fois seuls, elle vint s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil. Sa cuisse gainée de rose offerte à ma vue, elle se pencha sur moi, glissant sa main sous ma chemise. Elle commença à me caresser le torse, venant coller sa poitrine libre sous son corsage transparent contre moi. Sous le voile, ses seins étaient chauds et élastiques. — La visite vous a intéressé ? Vous savez, il nous faut absolument de l’argent ! Elle avait fini de déboutonner ma chemise et s’attaquait à mon pantalon. Ma main s’était posée sur sa cuisse et remontait doucement sur le nylon rose. De mon autre main, j’avais entrepris de dégrafer son corsage. — Marie Rose, tu n’as pas honte ? Lisbeth était debout dans l’encadrement de la porte, son plateau fumant à la main. — Non, je n’ai pas honte, et je fais ce que je veux. Et si tu crois que je ne sais pas pourquoi tu as emmené monsieur dans la tour ? Et pourquoi pas moi ? Elle s’était levée d’un bond, furieuse, et d’un geste de défi, enleva son chemisier et fit tomber sa jupe. Waouu ! Quelle vision ! Ses bas étaient tenus par un porte-jarretelles de dentelle rose. Ses talons hauts rehaussaient des fesses larges et accueillantes. Son abondante poitrine avait tendance à s’affaisser, mais était hautement suggestive avec ses gros tétons proéminents. Elle avait les hanches un peu épaisses, un peu d’embonpoint mais surtout une ...