1. Deux anglaises en Périgord rose


    Datte: 07/09/2018, Catégories: fh, ffh, bizarre, BDSM / Fétichisme pénétratio, fantastiqu,

    ... abondante toison d’un rose fluo qui attirait le regard comme un aimant. Elle s’approcha du fauteuil, fini de me déculotter et vérifia mon état. J’étais en transes, gonflé, dur, dressé, douloureux d’envie. Alors elle vint s’asseoir sur moi, engloutissant mon membre dans son sexe lubrifié par une abondante sécrétion odorante. J’avais les yeux rivés sur cette touffe rose d’où entrait et sortait mon pieu luisant à chaque mouvement de ses hanches. Mes mains avaient agrippé ses gros seins et les malaxaient avec vigueur. Elle commençait à gémir sous les coups de boutoir. Soudain, elle saisit son foulard, m’en entoura le cou et commença à serrer, doucement, puis plus fort. J’avais l’impression que tout mon sang quittait ma tète pour envahir mon sexe. Mon cerveau s’embrumait et mon pénis allait exploser. Ce fut elle qui explosa en un orgasme destructeur. Elle était secouée de toute part, ses seins ballottant de droite et de gauche. Sa touffe rose coulait comme une fontaine sur ma verge, sur mon ventre. Elle desserra son étreinte, je repris une grande bouffée d’air. — Marie Rose, le thé est à nouveau froid ! Lisbeth avait assisté à toute la scène. Marie Rose partie avec le plateau, elle s’approcha de moi, souleva sa robe à deux mains et s’assit sans façon sur mon sexe toujours bandant, luisant de mouille. Il pénétra sans le moindre effort, les deux sexes étant parfaitement lubrifiés. Elle saisit le foulard et serra de nouveau pour redonner une vigueur supplémentaire à ma verge. Elle ...
    ... serrait, serrait encore. Elle était plus vigoureuse que sa sœur. Je commençais à suffoquer, ma bite avait du éclater depuis longtemps. Mes pensées s’obscurcissaient comme si j’allais disparaître…Disparaître? Illumination soudaine. Les vestes dans le placard, de l’argent à tout prix, le gémissement dans le couloir, ce cinéma bien réglé. J’allais finir aux oubliettes !!!! D’un effort désespéré je repoussais Lisbeth qui alla rouler cul par-dessus tête. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’enfilais le pantalon, récupérais ma veste, traversais le couloir en courant, bousculant Marie Rose et son plateau, et sautais dans la voiture. Je n’avais jamais quitté une femme aussi vite !!!Mettre de la distance entre cette maison et moi. Roule. Ma respiration s’apaise, mon cœur ralentit la cadence. Calme-toi, tu vas trop vite, tu vas te planter ! Dans un virage la voiture fit une embardée, mordit sur le bas-côté. Un violent chaos secoua le véhicule. Par pur réflexe, je donnai un coup de volant pour redresser ma course. Ouf ! Moins une ! L’orage grondait toujours. Dans un vacarme assourdissant, un éclair vint frapper la route juste devant la voiture. Une lueur aveuglante m’enveloppa. J’eus l’impression de flotter quelques secondes. La radio se mit en route toute seule. On y passait un vieux John Lee Hooker. La route était déserte. Elle sinuait entre les maïs et les noyers. J’avais une drôle d’impression de déjà vu ! J’apercevais, en contrebas dans la vallée, le château objet de ma ...