1. L'amour d'un père (3)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 3 : Mes deux anges. J’ai raconté toute la vérité à Nancy. Je m’attendais à ce qu’elle se montre jalouse ou fasse un scandale, mais ça s’est mieux passé que je ne le pensais. Quand je lui ai demandé comment elle se sentait par rapport à ça, elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas être jalouse de sa propre sœur, qu’elle l’aimait, qu’elle savait qu’elles partageaient toutes les deux le même fantasme par rapport à moi, et donc qu’au final, elle était plutôt contente de la tournure des événements. Je me suis senti rassuré. J’avais peur de voir naitre de la rivalité entre les deux. Depuis, je baise mes deux filles à la maison. Mais attention, Je ne couche pas avec une quand l’autre pourrait nous surprendre. Ce n’est pas une question de faire des cachotteries, mais plutôt de pudeur. L’autre le sait très vite généralement de toute façon : elles se racontent tout. Cela me fait d’ailleurs parfois bizarre quand, même en ma présence, j’entends l’une dire à l’autre des choses du genre : « Papa m’a prise dans la cuisine ce matin quand tu étais en train de prendre ta douche. Du coup, tu veux que je te laisse seule avec lui ce soir ? » Je suis devenu un gode michet humain ou quoi ? Quand j’ai dis que je les aimais aussi fort l’une que l’autre, je ne mentais pas. Lorsque j’ai envie, je ne vais jamais plus vers l’une que vers l’autre. Je leur donne tout mon amour équitablement. Ce n’est même pas réfléchi, c’est simplement naturel. Ça me fait bizarre tout de même d’avoir deux amantes à ...
    ... la maison. Ce n’est pas toujours facile de faire un choix. « Avec laquelle de mes filles, je vais bien pouvoir baiser aujourd’hui ? » n’est pas le genre de dilemme que je pensais avoir un jour. Elles sont toutes les deux extraordinaires, et si demandeuses. Angela est plus timide, mais beaucoup plus passionnée. Nancy, elle, est en train de se transformer en vrai petit démon. Je les adore, je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, et elles ont l’air tout aussi épanouie. Je dors rarement seul ces temps-ci. Je suis parfois dans le lit de l’une, parfois dans celui de l’autre. C’est devenu leur nouvelle lubie : me garder pour la nuit. Il n’y a jamais beaucoup de place alors nous nous serrons très fort. C’est idiot, mais j’aime ça. Je ne sais pas combien de temps cela peut durer. Je sais que ce que nous faisons est interdit, et que je ne pourrais pas toujours les garder rien que pour moi. Il y aura bien un jour où elles auront des petits copains et où elles m’oublieront ; mais pour moi, ce seront toujours mes amours de filles. En attendant, j’en profite un maximum. Même avec leur mère qui était pourtant une sacrée coquine, je n’ai jamais été aussi comblé sexuellement ; ce qui me fait un bien fou après autant d’années sans avoir quelqu’un dans ma vie. Ça reste parfois très éreintant, car ici, je n’ai pas une, mais deux femmes à satisfaire. Ma propre endurance me surprend de temps en temps. Un matin, Nancy vient me sucer sous la douche, et le soir, j’arrive encore à trouver l’envie ...
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