1. L'amour d'un père (3)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... elles prennent le relais. Elles me branlent pour en faire sortir un maximum, comme si la douche que je venais de leur envoyer n’était pas assez et qu’elles en voulaient toujours plus. Elles me sucent ensuite pour me nettoyer. En retombant partiellement sur terre, je peux remarquer l’étendue du massacre que je viens de faire. Elles dégoulinent de sperme toutes les deux. Je les trouve sublime. Je me sens comme un animal qui vient de marquer son territoire. Elles sont à moi et à personne d’autre. Quand elles en ont fini avec ma bite, elles me sourient, puis elles s’embrassent amoureusement. Elles échangent le sperme qu’elles ont dans la bouche. MON sperme. Je regrette presque de ne plus avoir de foutre à leur donner pendant que leurs lèvres sont collées les unes aux autres, car si je ne venais pas de jouir, cette vision aurait eu certainement raison de moi. Ma princesse et mon chaton, qui jouent avec mon foutre. Elles commencent à se lécher réciproquement pour récoler mon sperme sur leurs visages. Elles ressemblent à deux chattes qui font leur toilette. Elles se caressent et se ...
    ... serrant l’une contre l’autre. C’est là que je réalise qu’elle ne mentaient pas quand elles se disaient amoureuses. Je n’en reviens pas. C’est beau de les voir ainsi. Je les regarde comme ça sans bouger pendant qu’elles finissent de ramasser tout le jus qu’elles ont sur elles avec leurs langues. Elles n’avalent pas ; leur bouche est pleine. Quand elles ont terminées, elles s’embrassent à nouveau. Mon sperme déborde et dégouline sur leur corps nus. Ils tombent sur leur seins et glissent jusqu’au bas de leur ventre. Ce sont vraiment des cochonnes sans pudeur, mais cela m’excitent. Quand elles s’arrêtent, leur front collé l’un contre l’autre, elles se tournent vers moi et me sourient. — Ça t’a plu, papa ? — Vous êtes magnifiques, mes chéries. Je vous aime. — Nous aussi, papa. Peu après, nous nous allongeons tous les trois sur le lit pour faire une sieste ; une de mes filles sur chacun de mes flancs. Elles reposent leur tête contre mon torse, et je les sers très fort contre moi. Peu m’importe qu’elles soient gluantes : je les aime, et nous formons une famille unie, pour toujours. 
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