1. L'amour d'un père (3)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... à sa sœur. J’accepte néanmoins de l’initier, et je suis surpris en voyant qu’elle s’y habitue bien plus vite que Nancy, et qu’elle y prend très vite du plaisir. — Papa ! J’adore ! s’exclame-t-elle après son premier orgasme anal. Pourquoi on n’a jamais fais ça avant ? Ma petite Angela m’épatera toujours. J’avoue que c’est un pur bonheur de pouvoir enculer une femme à nouveau. Leurs petits culs sont si serrés. Ça m’émeut de me dire que je suis le seul homme à les avoir jamais prise par là. Je voudrais qu’il en reste ainsi pour toujours. Cela fait des mois que nous baisons maintenant. Je crois que j’ai pris mes filles dans toutes les pièces et dans toutes les positions ; et désormais, par tous les trous. Elles sont formidables, à la fois érotiques, et délicieusement perverses. Je suis amoureux des deux, et nos liens deviennent de plus en plus fort. Le sexe devient évidemment de moins en moins un tabou. Nous le faisons parfois pour exprimer nos sentiments les plus profonds, mais aussi parfois simplement pour le plaisir. Je ne sais jamais où ni quand cela peut arriver. À chaque fois que je prends une douche, je me demande si Nancy va venir me sucer, ou si Angela va débarquer pour réclamer quelques coups de reins. Je n’ai jamais su leur dire non. Elles sont si belles ; elles me font craquer. Je me lasserai jamais de sauter mes petites femmes. Un matin, alors que je dormais encore, je me réveille avec une étrange sensation au niveau du pénis. Malgré mon état vaseux, je la reconnais ...
    ... entre toute : à la fois chaud et humide, Nancy est sans doute en train de me faire une pipe. Dans mon lit, au réveil, alors que nous n’avons pas dormi ensemble, voilà qui est nouveau. Je me relève partiellement pour découvrir ses formes sous la couette. La petite coquine s’y est glissée pendant mon sommeil ; j’entends ses bruits de succion. Quand d’un geste, j’enlève ce qui m’empêche de l’admirer en plein travail, j’ai la surprise de constater qu’il s’agit en réalité d’Angela. Je ne la voyais vraiment pas prendre ce genre d’initiative. — Salut, mon chaton, lui souris-je. — Bonjour, mon papa chéri. Ça te plait ? — C’est divin. Continue, ma puce. Nue, allongé sur mon lit entre mes cuisses, je la regarde faire avec délectation. Elle s’amuse avec mon sexe comme s’il s’agissait d’une sucette. Elle est devenue très douée pour la fellation. J’ai été un bon professeur. Je lui caresse tendrement les cheveux et la nuque, et soupire pour lui faire partager mon bonheur. Elle prend son temps. Elle ne cherche pas à me faire jouir, juste à me donner du plaisir. Elle pourrait faire ça pendant des heures. Je ferme les yeux et me réinstalle dans mon lit. Je me laisse guider par les sensations. Plusieurs minutes passent, puis je ressens quelque chose d’étrange, comme si elle avait pris à la fois mon gland en bouche, et qu’elle me léchait les couilles en même temps. Je rouvre les yeux avec l’intention d’éclaircir ce mystère, pour apercevoir que sa sœur est venue la rejoindre. — Nancy ? Mais... — ...
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