L'amour d'un père (3)
Datte: 07/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... cadette. On ne le fera plus si cela te dérange. En entendant sa question, je réalise soudain ce que cette révélation provoque chez moi : — Non. J’en suis heureux. Je suis heureux de savoir que mes filles s’aiment à ce point. Vous avez ma bénédiction. Baisez autant que vous voulez. Je suis si fier de vous. Je vous aime. — Nous aussi, papa, on t’aime. Sur ce, elles s’échangent un nouveau baiser sans pudeur. Elles sont si mignonnes toutes les deux. J’essaie d’imaginer mes deux files, seules, en train de faire l’amour. Je devrais peut-être être jaloux, mais au lieu de cela, cela me donne une trique d’enfer. Cela explique tellement de choses. Je comprends mieux leur complicité et leur initiative de ce matin. J’en déduis que les bruits que j’avais pris pour des embrassades tout à l’heure en étaient bel et bien. Je continue de les enculer chacune à leur tour. Je ne sais plus depuis combien de temps on baise, mais je crois que je n’ai jamais tenu aussi longtemps. J’en peux vraiment plus. Si je ne parviens pas à les faire jouir très vite, je vais plus pouvoir me retenir et je vais lâcher la sauce dans un de leur cul. Par chance, Nancy finit par être frappé par un orgasme. Elle s’écroule sur le lit. Elle est magnifique. Je m’éclate dans le conduit d’Angela en espérant la faire jouir au plus vite. Elle se laisse sauter comme une chienne docile. Elle veut que je l’utilise. Je me sens soulagé lorsqu’elle vient enfin à son tour, pour la deuxième fois de la matinée. Je suis épuisé, ...
... j’aurais pu éjaculer dans Angela, mais j’ai envie d’en terminer autrement : — Nancy, Angela, mes amours, s’il vous plait, aidez papa à jouir ; j’en ai trop besoin. Je me mets debout sur le matelas en me masturbant, et elles comprennent tout de suite de quoi j’ai envie. Elles se placent à genou devant moi et commencent à jouer avec ma bite. Quel spectacle splendide. Mes bébés à moi, à qui j’ai donné la vie, que j’ai vu grandir et qui sont aujourd’hui des femmes si désirables. Je les aime de tous mon cœur. Il y a longtemps, j’ai changé leurs couches, et maintenant, je m’apprête à éjaculer sur elles. Elles prennent soin de moi. Elles me pompent les deux pour me faire jouir. Quand je sens que cela vient, je prends ma queue en main pour me finir moi-même. Elles se collent l’une à l’autre, la bouche ouverte, pour se préparer à me recevoir. On dirait deux petites chiennes qui attendent qu’on les nourrisse. Je vais exploser. Mes couilles me font mal à force de retenir leur jus aussi longtemps. Je sens celui-ci grimper jusqu’au champignon, s’arrêter un instant, puis éclater puissamment. Ça y est, enfin ! Après tout ce temps ! Ma bite expulse de copieux jets de foutre. Je leur jouis au visage en hurlant de bonheur. Je vais de l’une à l’autre pour ne pas faire de jalouse. J’en ai une quantité impressionnante. Je les salis bien. J’ai l’impression que je vais mourir et que mon cœur s’est arrêté. Je leur donne tout, jusqu’à la dernière goutte. Lorsque je sens la fin arrivé, je lâche mon sexe, et ...