1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... dessous.— Avec plaisir, mais tu sais que tu peux me tutoyer.— Je n’en ferai rien, monsieur le tuteur, il faut savoir garder un certain recul hiérarchique. Julie me fait le listing de son repas hyper calorique et je descends prendre ma voiture pour aller commander notre déjeuner. Les jeunes et le fast-food, j’aurais préféré qu’elle choisisse japonais ou indien, mais je me résigne à faire selon son envie, histoire de ne pas avoir l’estomac vide je commande un menu. À mon retour, je passe devant le bureau de mes collègues et leur dis que nous ne mangerons pas avec eux. Ils se moquent de mon futur repas caché dans le sac en papier kraft. D’ailleurs il ne faudra pas cinq minutes pour qu’ils rappliquent avant de partir à la cantine pour se moquer de mon pari perdu. Il a bien fallu inventer une histoire pour expliquer que j’aille chercher ce genre de bouffe. — Eh bien, pour la peine on va se faire un restau, profite bien ! se moque François en désignant le sac aux effluves de friture. Je ferme la porte pour que l’odeur ne se répande pas dans tout l’étage. Je compte bien en profiter, mais pas de façon gustative. Julie fait de la place sur son bureau et inspecte pour voir si tous les mets choisis sont présents, j’attends le verdict comme si ma vie en dépendait, la coquine prend son temps. — Merci beaucoup monsieur et, comme promis, je vais retirer l’étoile côté cœur. Elle pivote sur sa chaise, ouvre pull et soutien-gorge puis deux doigts pincent délicatement l’étoile qui est ...
    ... décollée lentement. L’étudiante scrute mes réactions avec un sourire des plus adorables, je me surprends à mater son visage plus souvent que son sein. Cette fraicheur espiègle et impudique me ravit, le gros téton grumeleux est enfin à ma vue, il est accompagné d’une aréole étalée de même teinte, brun tendre. Elle s’approche, colle l’étoile sur un coin de mon bureau, puis retourne s’asseoir pour se restaurer. Je n’ai pas faim, je grignote, nous nous regardons en silence pendant la pause. Nos regards en disent long sur ce qui se passe entre nous. Je ne pense plus aux conséquences de nos dérapages, je veux vivre le jeu qu’elle propose. — Au sujet de la deuxième, je souhaiterais simplement que tu ailles me chercher un café, minaude-t-elle. Trois minutes et trente-deux secondes plus tard je pose un gobelet chaud à côté de son clavier. Comme promis, elle retire le papier collant qui commençait à la gêner, avoue-t-elle. J’ai enfin sa poitrine à portée de regard, elle laisse filer son pull et sa lingerie le long de ses bras pour s’offrir entièrement. J’ai envie de baiser son cou, de passer mes mains sur ses épaules et me blottir contre les divinités gonflées. Mais d’abord, je souhaiterais connaître la douceur de ses lèvres, goûter au charnu de sa bouche, je fais un pas vers elle. — Cela ne fait pas partie du jeu, dit-elle avant de se couvrir. Jusqu’au lendemain je n’aurai droit à aucune attention, juste quelques mots pour débloquer un petit bogue dans son programme d’acquisition ainsi que ...
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