Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... quelques moqueries lorsque les collègues viendront me taquiner après leur délicieux repas. Je me console en collant le trophée bleu à côté de l’autre. OooOOOooo Vendredi, veille de mes vacances et du repas donnés en notre demeure. Elle arrive en même temps que moi au boulot, sort de la voiture de papa et vient me claquer les bises matinales. René veut me parler, je donne les clefs du bureau pour qu’elle puisse s’installer. Je me demande bien pourquoi il a besoin de ma présence au milieu du parking. — Julie m’a dit que vous l’aviez invitée chez vous.— Oui, ma femme fait toujours un repas à cette période et mes stagiaires sont toujours conviés, ai-je le besoin de me justifier.— Je trouve ça très bien, je voudrais seulement que vous ne la laissiez pas conduire si elle boit. Je sais qu’elle m’a promis d’être sage, mais vous connaissez les jeunes, ils sont tentés de boire quelques verres. Elle a eu son permis récemment et je ne voudrais pas qu’il lui arrive quelque chose.— Je vous comprends.— Donc je me permets de vous demander de la garder pour la nuit si elle est un peu pompette. Si vous n’avez pas de chambre, mettez-la sur le canapé, cela lui servira de leçon ! Je peux compter sur votre sérieux ?— Bien entendu.— Alors, l’affaire est conclue, me dit-il en me serrant vigoureusement la main comme pour sceller un pacte. Maintenant, le père me met sa fille entre les bras, je suis déjà assez déboussolé par la coquine qui hante mes nuits, voilà qu’elle a l’absolution pour passer la ...
... nuit chez celui qu’elle enflamme. Je reprends ma place et décide de ne pas aller faire de nouveaux essais, avant mes congés je m’octroie une journée plus relâche qu’à l’accoutumée. Julie a de quoi ronger son frein durant mon absence et comme je suis dans les petits souliers du chef de service je ne vois pas pourquoi je n’en profiterais pas un peu. — Monsieur, désirez-vous un café ?— Volontiers ! Pendant qu’elle s’absente, je lis le message écrit sur un post-it jaune collé sur le bas de mon écran. Une phrase courte me demande de poser mon caleçon sur son clavier si je veux jouer. Il ne lui faudra pas longtemps pour revenir. Je pousse mon talon gauche avec le pied droit pour retirer ma chaussure en défaisant ceinture et braguette puis je fais de même avec l’autre soulier. Retirer le pantalon assis n’est pas aisé, mais je reste tout de même à me contorsionner sur la chaise pour ne pas être surpris en fâcheuse posture. La motivation aide à réaliser des prouesses avec rapidité, quand elle pose le gobelet sur mon bureau je suis habillé, chaussures comprises et mon slip est plié à l’endroit désigné. — Je vois que vous êtes plus slip, joli tout de même, se moque-t-elle en dépliant le tissu aux motifs géométriques bigarrés. Elle le met dans son petit sac à main et se met à travailler. Au bout de quelques minutes, elle quitte sa veste en toile et je découvre qu’elle porte un boléro noir par-dessus un haut blanc près du corps. En regardant de plus près, je m’aperçois que ces chaussures ...