1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... gland tendu. De nombreux jets emplissent la gorge de la coquine qui me regarde, fière d’avoir surpris son nouvel amant de trente-six printemps. Elle lape la moindre goutte et rend mon sexe recroquevillé propre comme un sou neuf. Nouvelle étreinte passionnée durant laquelle elle refuse que mes mains tripotent ses trésors. — Ce sera votre cadeau dès votre retour. Rien de plus à ajouter, je prends une douche avant de la raccompagner chastement chez elle. Elle profitera des douches du vestiaire pour être plus fraîche. Pas un seul effleurement de main n’est toléré, c’est elle qui instaure cette règle pour qu’aucune parcelle de son parfum ne vienne au nez de ma femme. Par contre, elle garde mon slip bariolé comme trophée. Dire que mes trois trophées sont collés sur mon bureau ! Dès que je tente de parler de notre relation elle pose son index sur les lèvres. Le soir, pendant le film, je m’isole quelques minutes pour envoyer le premier message à ma maîtresse en restant bien dans le thème même si je souhaite lui en dire beaucoup plus. — Tu es la fille la plus merveilleuse que j’ai connue. Elle me répond d’un bref merci, suivi d’un smiley souriant. Je suis un peu déconfit, mais je lance la deuxième missive qui fait l’éloge de son corps de déesse et de sa poitrine plantureuse. Son message en retour est bien plus long et coquin, il me réchauffe le cœur et le reste. OooOOOooo Le samedi matin est une longue course entre les préparatifs pour la réalisation de la paella, s’occuper des ...
    ... enfants, faire les emplettes, préparer le repas du midi. Nous ne sommes pas trop de deux pour réaliser toutes les tâches. Comme le temps est pluvieux, j’ai débarrassé l’abri-voiture de tout ce qui peut brûler puis j’ai installé le brûleur. J’ai eu le temps d’envoyer mon SMS du matin, c’est du boulot d’être dix-sept à la maison, ma femme ayant invité deux couples supplémentaires. Heureusement, les gosses ne seront pas de la partie. Quatorze heures, nous emmenons les mômes chez mes parents, retour à la maison vers seize heures trente. Je commence à faire chauffer l’huile pour précuire les viandes en pestant contre ce putain de crachin qui nous oblige à chambouler le salon pour pouvoir caser les tables. Il est déjà dix-neuf heures et les premiers invités arrivent, Julie fait partie de ceux-là. Tel que promis, elle porte une robe, des bottes et aucune trace de maquillage sur son doux visage. Le tissu recouvre son corps jusqu’aux chevilles, mais elle le soulève discrètement pour me faire voir que ses souliers à talon sont bien des bottes. Une ceinture large est négligemment bouclée sur ses hanches et cintre le vêtement, lui donnant un air de pin-up. De larges bretelles soutiennent la partie haute un peu bouffante qui ne moule pas la poitrine. Celle-ci bouge librement et il suffit de la regarder marcher pour pouvoir s’extasier devant les ondulations de ses globes. Elle s’intègre plutôt pas mal, les femmes l’ont adoptée surtout depuis qu’elle a répondu en rigolant, certes, mais assez ...
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