Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... sèchement à mes deux collègues de boulot qui lui ont fait une réflexion à la cantonade pour que tout le monde entende : — Wouawww, tu es une vraie fille ! Ça change de tes vilaines tenues de banlieue !— C’est pour ne pas avoir à entendre ce genre de réflexions machistes et puériles que je m’habille en ado ! Elle fait donc partie intégrante du club des filles qui sont contentes de compter un nouveau membre de caractère. La femme de Marc en rajoutera même une couche en enfonçant son mari d’une nouvelle remarque cinglante, cela fait rire tout le monde sauf l’intéressé qui ne parlera plus à son épouse de la soirée. Nous sommes réunis devant la table de camping dressée près de la poêle à paella, je peux ainsi partager l’apéritif avec tout le monde tout en finissant la cuisson du plat espagnol. Quand nous passons à table, certains ont déjà un peu exagéré sur le pastis, et les vins rouges et rosés qui coulent à flots n’arrangent pas les choses. L’ambiance est au rendez-vous, les chants paillards ponctuent les discussions enflammées, certains dansent même lourdement sur la musique. Julie se fond dans la masse et ne fait aucune allusion susceptible de révéler notre liaison. Vers onze heures, je vais aux toilettes et profite du calme pour envoyer mes compliments du soir. L’alcool aidant, le message est plutôt long et sûrement pas très clair. Je reviens dans la salle des fêtes pour voir ma femme soutenir Julie qui, hilare, hurle qu’elle est pompette. J’aide à la porter jusqu’à la ...
... chambre d’amis. — C’est bon, je m’en occupe, dit ma moitié en commençant à enlever une botte, je n’ai pas besoin d’un voyeur aviné, ajoute-t-elle en riant. Je les laisse, ferme la porte puis m’en vais après avoir écouté quelques secondes pour vérifier si tout se passait bien. Mon épouse lui parle doucement pour la rassurer, la demoiselle ne cesse de se marrer. Je retourne à la soirée le cœur léger. À jeun, j’aurais sûrement stressé sur le fait que l’état de Julie la fasse parler. Départ des derniers invités aux alentours de deux heures du matin, le temps de remplir le lave-vaisselle, faire le ménage, ranger un peu, il est trois heures trente quand je me retrouve nu à me brosser les dents pendant que Marie enfile sa nuisette. — Tu sais ce qui s’est passé quand j’ai couché la petite ?— Ben non, réponds-je mon cœur partant au galop derrière la cage thoracique.— Je lui ai enlevé ses bottes, j’ai voulu lui retirer ses chaussettes pour qu’elle soit plus à l’aise… eh bien elle avait des bas !— Et alors ?— Mais laisse-moi finir ! Ils étaient attachés donc j’ai soulevé encore plus sa jupe et bien elle ne portait qu’un tout petit porte-jarretelles !— …— Et ça ne te choque pas ? Déjà que j’avais remarqué pendant la soirée qu’elle n’avait pas de soutif !— Que veux-tu que je dise ? Elle est majeure, non ?— Ouais, mais ça fait drôle quand même…— Et ses bas ? Tu les lui as enlevés ?— Oui… Mais, mais tu bandes mon salaud ! m’engueule-t-elle, histoire de changer de victime. Je trouve la parade ...