Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... blasé, mais en vérité troublé par les dires. Je fonce à la chambre, enfile le premier short de bain que je trouve, je passe à la cuisine faire quelques tartines grillées que j’emmène sur un plateau. Le carrelage de la terrasse est glacé, l’air n’est pas plus chaud, je me dirige vers le carré émeraude d’où émergent deux têtes. Le plateau posé au sol je descends dans la tiédeur et me mets en face de deux femmes. Mon premier regard est pour Marie au visage cramoisi, je sais que ce n’est pas la chaleur du bain, et le second pour Julie qui sourit innocemment. La stagiaire m’avait promis aucun geste déplacé durant la soirée mais celle-ci est terminée, qu’en est-il de la matinée suivante ? Sûrement un de ses scénarii épicés, une érection commence à poindre dans le filet qui sert à tenir mes attributs. Ma femme se contient, je sais que sous les remous se trament des caresses et que la plus jeune titille sa voisine. Je veux en avoir le cœur net, et quoi de plus direct que de demander à ma récente maîtresse ? — Marie m’a dit que tu lui as touché la jambe tout à l’heure, à voir sa tête je suppose que tu continues plus haut ? Je suis content de surprendre tout le monde. Julie, d’habitude si prompte à rebondir sur les situations, ne s’attend pas à autant de franchise, et que dire de la pauvre Marie au regard perdu qui se recroqueville dans un coin ? Le souci est que l’effet de surprise passé il faut assurer ensuite, ce que mon cerveau n’avait pas prévu. Je me retrouve comme un con devant ...
... ma maitresse et ma femme alors que je viens de gâcher la magie d’une intimité que chaque homme rêverait de vivre. Je maudis ma faculté à détruire ces situations qui pourraient donner vie à mes fantasmes. Si Julie a pu être magnanime durant nos dernières entrevues, qu’en est-il de mon épouse que je n’ai jamais connue dans une position aussi embarrassante. Même la jeune femme se trouve contrite d’avoir provoqué notre couple d’une manière aussi directe. Si je n’avais rien dit, je le pense, tout se serait déroulé en douceur et sans heurt. — Je vais vous laisser, est la seule chose que je trouve à dire.— Chéri, c’est ma faute, avoue ma rousse toujours prostrée dans son coin, je lui ai avoué mon trouble lorsqu’elle m’a touchée, ainsi que lorsque j’ai découvert sa nudité. Je suis désolée, chéri.— Alors, je vous laisse, répète ma voix monocorde.— Non, si… Je ne sais pas. Ma stagiaire coquine m’envoie des signaux avec ses yeux pour savoir comment elle doit réagir. J’avoue que je la tancerais bien vertement pour avoir poussé aussi loin le jeu, en même temps je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Heureusement, le climat humide et surchauffé de la grande baignoire carrée est propice à l’apaisement. L’air extérieur poussé par une bise glacée nous pousse à rester bien au chaud. Je décide donc de jouer le tout pour le tout. Quitte à briser en éclat mon ménage autant que cela le soit de mon propre chef et avec le tact qui me caractérise. — Beauté, tu ne voudrais pas t’asseoir à ta place ? Si ...