-
Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,
... Julie veut bien reprendre ses activités sous-marines, bien entendu. La plus jeune se retourne vers ma moitié, qui, comme aimantée se glisse sur le siège moulé du spa, les yeux clos. L’étudiante m’implore du regard et je hoche la tête pour qu’elle plonge ses doigts dans les bulles. Mon épouse gémit au premier contact mais n’ouvre pas les paupières, comme si cette obscurité factice pouvait cacher ses agissements. J’avais bien senti Marie troublée lorsqu’elle m’avait parlé du déshabillage de la petite, comme elle l’appelle, mais je ne pensais pas à ce point. Ce qui aurait dû me mettre la puce à l’oreille est la facilité avec laquelle elle a accepté de faire l’amour avant de se coucher, elle qui d’habitude refuse l’acte lorsque je suis sous l’emprise de l’alcool. — Avez-vous besoin de vos maillots ? Ma demande est immédiatement suivie par une action de ma femme qui montre son slip de bain avant de se défaire du soutien-gorge bonnet B. Julie est plus lente à réagir, mais la pièce de tissu rouge atterrit elle aussi sur le carrelage. À présent, les deux femmes ont la tête qui repose sur les coussins et gémissent de concert. Je quitte le bermuda et me caresse en solo, le spectacle de ces visages grimaçant de plaisir est le plus beau qu’il m’ait été donné de voir. À l’unisson les filles jouissent en accélérant la fréquence de leurs souffles, de petits cris ponctuent le concert de gémissements puis un calme serein envahit le bain bouillonnant. J’ai moi aussi déversé le trop plein de ...
... mes tensions et suis d’un calme olympien. C’est Marie qui trouble cette quiétude : — Chéri, tu devrais appeler tes parents pour leur dire que nous n’irons chercher les enfants que demain. Je sors nu et cours chercher le téléphone, j’entre dans la maison sans faire attention au ménage de la nuit. Je reprends le chemin mouillé jusqu’au jacuzzi dans lequel je prends place pour téléphoner. Mes parents se moquent de nous et acceptent avec plaisir la présence une nuit de plus de leurs petits-enfants qui ne prennent même pas le temps d’arrêter leurs jeux pour nous faire un petit coucou. Je tends ensuite le combiné à la jeune délurée qui, bonne comédienne, annonce à sa mère qu’elle arrivera pour le souper. Elle argue le fait de nous aider à ranger et nettoyer les reliefs de la soirée. Je comprends qu’elle ne puisse pas passer une autre nuit avec nous pour ne pas éveiller les soupçons. Ce qui est plus surprenant ce sont les réactions de ma femme. Elle qui d’habitude est effarouchée par tout ce qui touche au sexe en dehors du mariage et entre personnes du même sexe n’a pas du tout l’air perturbée par cette situation. Je la trouve particulièrement à l’aise et surtout très tolérante depuis qu’elle a été l’actrice d’attouchements lesbiens. Elle prend la parole avec sérénité. — Julie, tu oublies souvent tes sous-vêtements ?— Non, c’était la première fois.— Comme avec moi ?— Oui…— Et avec mon mari ? demande-t-elle sans aucune rancœur dans la voix.— Quoi ? dis-je en cessant de caresser les ...