Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... prestance, ajoute admirative mon épouse qui pose son séant sur la commode, une jambe reposant au sol tandis que l’autre cuisse est posée sur le plateau, laissant bâiller le peignoir. La jeune ingénue aux cheveux longs retire l’éponge qui la couvre et s’agenouille dans le plus simple appareil devant mon membre qui n’a pas apprécié le froid glacial. Sa main gauche prend en coupe mes attributs flasques puis elle les embouche entièrement, dans l’antre chaud sa langue réchauffe les bourses et la hampe. Jamais je n’avais eu droit à un pareil traitement et les yeux ronds de ma femme en disent long sur la prouesse. Julie glisse sa main libre entre mes cuisses et m’oblige à les écarter pour venir masser mon trou étroit. Grossissant sous les caresses, mes testicules ne peuvent plus rester entre ses lèvres et elle commence les mouvements avec sa tête. Elle s’applique pour impressionner ma femme, le nez vient régulièrement s’enfouir dans mes poils pubiens. Elle salive abondamment pour aider mon membre à coulisser, elle profite d’une pause pour plonger quelques doigts contre sa langue en regardant mon épouse dans les yeux. Puis elle reprend ses assauts buccaux tout en envahissant mon fondement, je n’aurais pas cru accueillir deux doigts simultanément. Je ne peux pas réfréner mes gémissements, les attouchements sont tels que je m’épanche dans sa gorge pendant qu’elle se ventouse en se tenant à mes fesses. Marie est sans voix en regardant la gourgandine avaler ma semence et nettoyer ...
... avec application les coulures prises dans les poils. Ce qui diffère de la première fois est que les doigts coulissent dans mon anus serré sans cesser leurs mouvements. Elle ne dissimule pas son plaisir de me sodomiser, ses yeux brillent, sa bouche à demi ouverte, sur laquelle repose mon gland dégonflé, se déforme légèrement en un rictus lubrique. Notre spectatrice s’est déplacée et regarde les doigts me pénétrer, mon sexe prend déjà de la vigueur, elle recommence ses mouvements de piston. Elle profite du relâchement provoqué par le plaisir pour joindre l’annulaire à la fête. Mes jambes flageolent, trop d’émotions me submergent, je recule doucement pour m’étendre sur le lit, jambes relevées. Marie a quitté son peignoir et s’est assise de dos à mes côté, d’une main je peux caresser son minou brûlant et elle n’a qu’à se pencher pour m’emboucher ou embrasser la gourmande. Mes doigts entrent et sortent du vagin palpitant et elle lève même la jambe lorsque je tente de m’immiscer entre ses fesses. Cette caresse interdite m’est aujourd’hui facilitée, je me contente d’un majeur inquisiteur. Par habitude, ma main libre vient retirer sa tête au moment fatidique. — Non chéri, prend-elle le temps de dire, je veux te boire. Pas le temps de terminer sa phrase, quelques giclées l’inondent, elle en laisse filer un peu et ce sont deux bouches qui me nettoient. Je ne suis plus empalé, Julie pousse le vice à venir récolter un filet de semence égaré sur mes muqueuses. Les filles finissent par ...