Rêve ou réalité ?
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
... jambes de la jeune avec mes pieds.— Je ne t’ai rien demandé, chéri, je me demande pourquoi une jeune femme ne mettrait aucune lingerie si ce n’est pour prouver à un homme qu’elle est ouverte à ses envies. Julie, que se passe-t-il réellement entre vous ? Marie étend la jambe et vient à la rencontre de ma peau, je sursaute et la regarde. Ses yeux sont doux, elle apaise mes craintes, elle a compris et ne m’en veut pas, pas trop en tout cas, elle désire seulement l’apprendre de ma maîtresse et en ma présence. La jeune femme se sent prise au piège et raconte comment s’est passé notre jeu déviant. — Cesse de dire que tout est ta faute, il faut que les deux personnes soient consentantes, mon mari est tout autant fautif que toi, sinon plus. Ma femme appuie sur mon intimité tout en me désignant, et pour terminer Julie relate notre baiser puis, après quelques hésitations, la fellation qu’elle m’a prodiguée. Marie ne s’offusque pas plus que cela. Comment fait-elle pour ne pas être énervée par ces aveux détaillés ? La demoiselle avoue tout, comme pour se dédouaner, pour pouvoir être pardonnée de la totalité de ses actes. La plante du pied de mon épouse coince la verge sur mon ventre et commence un va-et-vient sensuel. Qui a changé ma femme à ce point ? Un amant ? Une maîtresse ? Ou simplement Julie et sa candeur ? — Donc, mon cher et tendre doit t’envoyer des compliments, tu devras donc faire de même à mon encontre, décide ma jolie rousse.— Oui, madame.— (sourire) Si tu étends le pied ...
... tu pourrais m’aider à branler notre homme, dit ma femme déchaînée. Les caresses deux femmes ne sont pas les plus douces que j’ai reçues mais j’avoue prendre beaucoup de plaisir à écarter les jambes pour laisser leurs orteils me taquiner. Parfois mes testicules sont malencontreusement malmenés, mes poils étirés mais le contexte provoque mon excitation. Entre elles, rien de charnel, à part leurs petons qui se touchent dans la zone de mon entrecuisse. Le fait qu’elle dise « notre » au lieu de « mon » n’est pas une erreur, elle le répète à nouveau en me désignant pour aller chercher leurs peignoirs suspendus aux patères tout à côté. Je sors de l’eau la queue à l’air et apporte le premier que j’ouvre et passe sur les épaules de mon épouse, je répète la même opération avec la seconde naïade et les suis, en tenue d’Adam, dans la douceur de notre demeure. Marie défait les cheveux de son amie qui les avaient remontés en chignon sur le sommet de son crâne pour ne pas les mouiller. Ma rousse au carré court n’a pas eu besoin d’accessoire pour garder sa chevelure au sec. Je récupère une serviette dans la salle de bains du bas et me sèche en rejoignant les donzelles qui montent en direction de notre chambre en se tenant par la main. Mon épouse propose à Julie de lui montrer sa technique buccale, elle le lui dit en ces termes exacts. La jeune fille ne se décontenance pas : — Monsieur, votre épouse désire que je vous caresse comme hier alors retirez cette serviette de votre taille.— Quelle ...