1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... lingerie, mais le lieu n’est pas adéquat. Petit à petit, je m’enferme dans une obsession prénommée Julie, il ne se passe pas un instant sans que je pense à elle, à sa façon de se vêtir, de parler. Pourtant, les tenues d’adolescentes des cités ne sont pas ma tasse, mais il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis. Je ne suis tout de même pas si atteint que ça puisque je l’imagine régulièrement avec des vêtements beaucoup plus glamour. Le grignotage est terminé, les garçons râlent de ne pas pouvoir jouer dans l’aire prévue à cet effet, mais il est tard et ils doivent se coucher pour qu’ils ne soient pas exécrables le lendemain. Je marche vers la voiture et ose un coup d’œil à travers la verrière, Julie me gratifie d’un coucou de la main et d’un sourire étincelant. Mon pauvre cerveau passera en boucle ce fugace instant jusqu’à ce que je la revoie lundi. Ma moitié s’aperçoit de mes absences et en rigole : — Chaque fois que tu dois faire des travaux tu es dans les nuages, cela te taraude autant que ça ?— Oui, oui… Sacré dimanche, passé à bricoler seul dans la maison avec pour seule compagnie les souvenirs emmagasinés depuis le début du mois. Il faudra plusieurs séances, enfermé dans la salle de bain pour me vider de mes tensions. Je ne sais pas ce qui me fatigue le plus, les travaux ou les longues pauses masturbatoires ? Le soir en me couchant je me demande même si ma santé mentale n’est pas touchée, comment puis-je me mettre dans cet état ? OooOOOooo Depuis notre ...
    ... rencontre au fast-food j’ai le plaisir de l’embrasser tous les matins. La semaine est plus fraîche et les tenues moins courtes, je peux reposer mon esprit et mes yeux, ce n’est que le lundi d’après que je crois avoir une attaque. Elle porte de petites baskets et l’éternel jean taille basse. Quand elle s’assied je peux voir ses socquettes blanches à rayures bleues, mais même cette faute de goût ne me rebute pas. Lorsqu’elle quitte sa veste je reste bouche bée en voyant le polo blanc. Celui-ci colle à sa peau et la découpe au niveau de sa poitrine n’est pas celle de la marque au crocodile. Le col descend plus bas qu’à l’habitude et la boutonnière ne se contente pas de deux boutons. Ses seins tirent sur le tissu et les boutons sont plus que tendus dans leurs logements, sauf les trois du haut qui sont négligemment défaits. Personne ne peut ignorer la lingerie blanche qui soutient ses affriolantes mamelles. Voyant mes yeux ronds et mon visage cramoisi, Julie ne me demande rien et remet sa veste en vitesse puis la ferme jusqu’en haut. Un « désolé » et deux « excusez-moi » sont murmurés en ma direction sans qu’elle quitte le moniteur des yeux. J’essaie de parler pour meubler le pesant silence, mais détendre l’atmosphère dans une telle situation n’est pas évident sans mettre les pieds dans le plat. — Ce n’est pas grave. « Voilà sûrement la phrase qu’elle souhaite entendre » me dis-je en pestant contre ma niaiserie chronique. — Je trouve ça très charmant, rajouté-je en souriant, peut-être un ...
«12...456...29»