1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... lors de ces questionnements. Elle est à l’aise, la situation ne l’a pas troublée outre mesure, je suis plus confiant quant à la portée restreinte de mes dires et autres gémissements car, j’en suis certain, j’ai dû gémir. Monsieur nous accompagne à la cantine et nous mangeons tous les trois en discutant de tout et rien. En fait, cet homme tyrannique est très agréable dès qu’il tombe sa veste de responsable. Je pense toujours à l’épisode de la matinée lorsque nous sommes devant la machine pour quelques réglages. Les mots, entre autres tungstène et barillet, n’ont plus la même connotation lorsque Julie les utilise. Je suis troublé et ce n’est pas la fuite d’huile qui macule nos blouses blanches qui dissipe ce sentiment. J’ai eu la chance de n’avoir eu que quelques projections qui n’ont pas touché mes vêtements. Elle a eu la désagréable surprise de voir son polo taché au niveau de sa poitrine car le liquide gras est passé par l’encolure et entre les boutons de la blouse d’atelier. Elle quitte le vêtement de travail et nous constatons les dégâts. — Va aux toilettes, je t’amène ton pull, lui dis-je, ne voyant aucune autre solution. Je remonte à l’étage prendre son bien puis descends pour me retrouver devant l’unique cabinet de toilettes féminin de l’étage atelier-laboratoire. Je toque et lui tend le bout de tissu par la porte à peine entrebâillée. Je n’ai pas le temps de rejoindre notre salle de montage qu’elle m’a déjà rejoint tenant à la main son polo en boule. Nous nous ...
    ... remettons au travail, je m’occupe de la vidange complète et du changement de lubrifiant du système. Mes pensées sont focalisées sur la manipulation à venir. Lorsque j’ai terminé je me lave les mains et je m’aperçois qu’une attache élastique dépasse de la boule formée par le polo froissé. Je me retourne instantanément vers Julie qui remonte quelques pièces. Je remarque sans peine les mouvements de sa poitrine libre, l’afflux sanguin se partage pour inonder visage et corps caverneux. Cette petite a le don de m’émoustiller à chacune de ses apparitions. — Vous m’entendez ?— Oui, euh, qu’y a-t-il ?— L’accéléromètre, je le mets en position haute ou basse ?— Basse, on va faire l’essai type 4, dis-je par automatisme.— Hum, euh, je comprends…— Comment ? demandé-je avec la crainte que mes visions aient encore troublé mon ouïe.— Rien, rien.— Tu peux poser ta question, pas de problème, tu es ici pour apprendre.— En fait, ce n’est pas une question. Je ne sais pas si je dois vous le dire mais, euh… enfin j’ai remarqué votre regard et je comprends mieux ce que vous disiez en dormant. La douce demoiselle m’a découpé le tronc aussi vite que deux bûcherons canadiens. Julie parle avec une telle candeur que je ne peux savoir si elle feint d’être naïve ou alors si elle l’est réellement, ce qui serait triste pour elle. Je ne me vois pas m’échapper de la pièce puisqu’il faut que je la chapeaute pour la suite du montage, et je ne trouve rien de mieux que de m’asseoir sur le seul siège disponible, un haut ...
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