1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus,

    ... les rires de Julie. Il me faut quelques secondes pour m’apercevoir que je viens de me réveiller. Si elle est bien derrière son bureau, elle est habillée décemment et non pas en sous-vêtements. Je ne sais plus où me mettre, je ressens ma tige tendre mon pantalon au niveau du bassin et je me rassieds en faisant attention de ne pas tomber à nouveau. — (rires) Vous dormiez bien, je n’ai pas osé vous réveiller. Je réponds en ronchonnant, j’excuse ma conduite et lui demande si je ne l’ai pas dérangée par mes ronflements. C’est à cet instant qu’elle est reprise par le fou-rire, je ne comprends pas trop pourquoi, mais il est communicatif et à mon tour j’éclate. Je tente de lui demander pourquoi mais elle préfère faire la sourde oreille. J’insiste une nouvelle fois, aucune réponse de sa part. Je la laisse tranquille et essaie de me plonger dans mon travail en la reluquant régulièrement, par réflexe. Son polo blanc n’est pas du tout ouvert et échancré, il possède le nombre de bouton qui convient. Cela n’enlève rien à la puissance érotique produite par la tension du tissu, impossible de se lasser, cette poitrine est tout bonnement prodigieuse. Si elle était née au siècle dernier elle aurait pu être l’égérie de Russ Meyer. Une dernière tentative pour savoir ce qui la fait rire, elle rougit et tapote sur son clavier, et là j’ai l’impression que mon rêve ressurgit. Son courriel est court : — La période de repos a été ponctué de bruits et de paroles pour le moins explicites. Je suis ...
    ... atterré, j’ai parlé en dormant, je suis dans une galère effroyable. Mes sentiments de contrariété sont décuplés par la lecture du message. Tout mon sang a afflué de mon bassin pour venir irriguer ma figure, je n’ose plus diriger mes yeux en sa direction, impossible d’affronter son regard. Plus le temps passe, plus je suis tétanisé par la honte qui me submerge. Plus rien à voir avec mes songes érotiques. — Rien de grave, ne vous inquiétez pas. Et puis, je ne dirai rien… Sa deuxième intervention ne m’apaise pas plus, s’il n’y a rien de méchant, il n’y a rien à divulguer. Je ne sais pas si elle me fait tourner en bourrique, si elle ne s’est pas rendue compte du double sens ou alors si c’est moi qui deviens paranoïaque. Il est bientôt la pause de midi et je n’ose pas me lever, je préfère rester bien enfoncé dans mon siège et attendre, la boule au ventre. Qu’ai-je pu bien dire et faire ? — Ce n’est pas la peine de vous cacher derrière votre clavier, je vous assure qu’il n’y a rien de grave. Je ne vais pas me formaliser pour quelques mots surtout s’ils sont flatteurs même si, à les entendre, j’aurais préféré qu’ils soient moins directs : o) Et je ne dois pas m’en faire ? Je ne sais plus quoi penser, je revis mes songes sauf que mon inconscient ne peut plus rien maîtriser. Et ce con de Bouillon qui choisit l’instant pour venir nous faire une petite visite. Les minutes passées dans le bureau me détendent, surtout que Julie ne tarit pas d’éloges sur l’intérêt du sujet et sur ma disponibilité ...
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