1. Le chapeau de ma mère (3)


    Datte: 09/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Cela faisait maintenant des semaines et même des mois que je m’adonnais au plaisir anal, tout en revêtant des dessous de ma mère. Lorsque j’avais un peu plus de temps, je complétais ma tenue, enfilant une robe ou un tailleur. Ces moments-là, je vaquais dans l’appartement, me contentant le plus souvent de m’amuser avec la garde-robe maternelle. Parfois je laissais un petit plug dans mon anus afin d’en parfaire la souplesse. L’hiver arrivait à grand pas et je rêvais de pouvoir revêtir un manteau, de chausser une paire bottes et tenter une sortie dans la rue. Le mauvais temps était un prétexte idéal pour m’aider d’un parapluie sous lequel je pourrais cacher un peu ma réelle identité ; le froid me permettrait de me dissimuler sous une épaisse toque. Enfin, il faudrait pour cela que je parvienne à trouver du courage, comme disait la grande Sophie. Un jour, peut-être… En attendant, je continuais de jouer à la parfaite femme d’intérieur. Les vacances scolaires étaient des journées bénies pour cela : ma mère travaillait et j’avais une dizaine d’heures devant moi lorsqu’elle décidait de manger avec ses collègues de boulot. Dans de tels cas, j’aimais enfiler une robe légère, je mettais un peu musique et esquissais quelques pas de danse. Ce n’était pas tant le plaisir de me trémousser que pour le bonheur ressenti lorsque le tissu virevoltait au rythme de la chanson. Quand la fin de la matinée approchait, je passais dans la cuisine et préparais à manger. Je prenais un grand plaisir à ...
    ... cuisiner en chantonnant d’une humeur légère. Je me souvenais le jour où je surpris ma mère avec son amant et comment elle avait elle-même fredonné des chansons en préparant le repas. La seule différence, mais qui était de taille : aucun homme ne m’avait encore donné de plaisir. Ni aucune femme, d’ailleurs, à la réflexion… Le plaisir, j’en avais eu, bien sûr, mais toujours avec des objets inertes, ou de ma main. Je m’étais d’ailleurs offert, avec l’argent reçu pour Noël, un superbe sextoy dont j’étais fière. Je ne parlais pas souvent de moi au féminin, parce que je n’étais pas absolument sûr de qui je voulais être. Un peu les deux à la fois. Homme et femme ; pourquoi se restreindre ? Mais pour ce qui était du gode acheté sur le net, je me sentais fière, au féminin. Fière parce que c’était un bel objet, ne serait-ce que par sa taille. Doux euphémisme… Quand je l’enfonçais entièrement en moi, je devenais une femme comblée ; j’en feulais de bonheur. Les semaines avaient continué de défiler, tandis que mon courage restait encore et toujours du domaine de la chimère. Depuis le début des vacances de février, j’accomplissais quotidiennement mon petit rituel. Douche pour émerger totalement de mon sommeil, essayage, puis choix des vêtements, après quoi je pouvais déjeuner. Puis j’étudiais, lisais ou tout simplement rêvassais, installé sur le canapé. Je me dirigeais ensuite vers la cuisine où je préparais mon repas, prenant bien soin de ne pas tacher les tenues de ma mère pendant que ...
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