1. Le chapeau de ma mère (3)


    Datte: 09/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... j’épluchais des légumes, éminçais la viande, tout en écoutant un CD que j’avais glissé dans le lecteur. Cette semaine, j’avais jeté mon dévolu sur le « Best of » de Sade. Lorsque je n’avais plus qu’à surveiller la cuisson, je disposais mon terrible engin sur une chaise, vérifiais que la ventouse prenne bien et me laissais entraîner par la voix suave et les rythmes chaloupés, les arrangements ciselés de la chanteuse anglo-nigérienne. Tout cela me mettait dans les meilleures conditions pour m’empaler gaiment sur mon superbe jouet. La musique baignait la scène d’érotisme, qui sans cela en serait restée au stade d’une vulgaire séance de ramonage, aussi intense fût-elle. Je relevais la robe jusqu’à la taille, me positionnais juste au-dessus du sexe de latex et, pliant les jambes en suivant le rythme, je descendais le long de la hampe. Si je me trémoussais quelque peu durant la descente, c’était surtout lorsque mes fesses arrivaient au contact de la chaise que les choses sérieuses commençaient. Je remuais le bassin en suivant la mélodie, me déhanchais, me tortillais de plaisir sur ce mât qui faisait salle comble. Je laissais alors retomber la robe, tel un rideau sur une scène finale, comme pour masquer ma coupable activité. Je redevenais d’un coup une jeune femme presque innocemment assise. Le plus souvent, je m’installais face au dossier afin de pouvoir y prendre appui au cours de ma danse érotique. J’aimais me relever lentement, me procurant la sensation qu’un boa émergeait de ...
    ... mon trou, puis quand je sentais le renflement du gland forcer sur le sphincter interne je me rasseyais brutalement. J’entrais alors littéralement en transe, subjugué par la musique, et sous l’emprise de cette colonne de latex qui sapait la résistance de mes muscles. J’en arrivais parfois à oublier les casseroles, et c’est l’odeur de brûlé qui me sortait de ma rêverie. Heureusement, dans ces moments-là je réagissais assez vite pour ne pas gâcher complètement mon repas. Quand tout était prêt, je me servais puis me réinstallais sur ma chaise améliorée. Tout en savourant mes repas, je me dandinais, me balançais sur mon gode qui lui aussi me calait bien : le plaisir de mon ventre était ainsi double, et j’étais doué dans les deux manières de le satisfaire. Peut-être plus pour l’une que pour l’autre. En ce vendredi, dernier jour de la semaine où je pouvais profiter d’une pléthore de temps, je n’avais pas dérogé à mes habitudes : j’avais revêtu une belle robe blanche ornée de motifs floraux. C’était une de mes favorites ; j’en adorais le contact soyeux qui me transportait de bonheur à chacun de mes gestes, même les plus infimes. J’avais chaussé une paire de bottes que je préférais aux escarpins, même pour rester en intérieur. J’allais et venais le long de mon destrier de latex au rythme des chansons de Sade, comme à l’accoutumée. Dans la pièce flottait une bonne odeur d’épices qui venait flatter mes narines, complétant la stimulation de mes sens. Absorbé par l’astiquage systématique de ...