1. Le chapeau de ma mère (3)


    Datte: 09/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ma rondelle, transporté par l’ambiance érotique de la scène, je n’entendis pas la porte s’ouvrir sur ma mère qui me surprit ainsi, l’arrière de la robe relevée à la taille, avalant sans difficulté particulière les trente centimètres de mon jouet favori, me gondolant de plaisir. Comme je lui tournais le dos, elle eut ainsi tout le loisir de me découvrir sous un nouveau jour. ─ Oh, mon Dieu ! s’exclama-t-elle en laissant tomber la pizza qu’elle venait d’acheter. ─ Oh, mon Dieu ! m’exclamai-je en laissant retomber la robe comme si cela pouvait encore épargner un peu de lubricité à ma mère. ─ Eh bien, le côté positif de la situation, c’est l’évidente similarité à marquer la stupéfaction. Héréditaire, mon cher Watson… commenta la collègue de ma mère dans une tentative vaine de désamorcer la situation. Ma mère bafouilla, à la recherche de ses mots. Ne sachant plus que dire, elle ne pouvait évidemment pas les trouver. Sa collègue ramassa la pizza. Elle proposa de s’en aller ou de rester, si cela pouvait être d’une quelconque utilité. Moi, je restais prostré sur ma chaise, comme s’il me fallait masquer l’objet du délit, comme si ma mère ne remarquerait pas que je portais ses vêtements. Finalement, la collègue proposa à ma mère de venir manger la pizza chez elle, repoussant le moment de l’inéluctable discussion à plus tard, une fois que l’effet de surprise se serait estompé. Cela me laissait le temps de redevenir son fils, de ne pas lui exhiber ce qui me défonçait l’intimité. Bref, ...
    ... cela donnait un peu de temps pour revenir à une situation plus propice à une franche mise au point. ─ Eh bien, je… je t’appelle avant de revenir. À tout à l’heure. Je restais planté sur ma chaise, dans tous les sens du terme. Bien après le départ de ma mère, je n’avais pas encore bougé. J’avais une énorme boule dans le ventre, et ce n’était pas le gland de mon gode ! Je sentis le plat qui commençait à brûler ; il me fallait bien faire quelque chose. Je me levais lorsque je réalisai que j’étais complètement tétanisé. La chaise se souleva. Mince ! Ce n’était pas ma journée. Je m’étirai et parvins à éteindre le gaz. Pour ce qui était de manger, je n’en avais plus aucune envie. Je devais me changer, redevenir le gentil garçon, mais pour une fois cela me coûtait : habituellement, lorsque je quittais mes habits féminins, j’étais déjà dans l’espoir et la hâte de les reprendre. Là, un gros point d’interrogation concernait la suite. J’avais beau tenter d’extirper le sexe de latex, rien n’y faisait. Il me fallait me détendre, et ça, ce n’était pas gagné. Je tirai sur la ventouse afin de pouvoir me déplacer sans traîner la chaise derrière moi. Je marchai jusqu’à ma chambre avec la sensation d’avoir un cheval entre les cuisses. Sur la table de chevet, mon téléphone portable clignotait d’une belle couleur bleue. Emporté par mon enthousiasme, ne n’avais pas entendu la sonnerie lorsque ma mère avait envoyé un message. Je ne pris même pas la peine de lire qu’elle me prévenait de son retour ...