Marin
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
hh,
école,
intermast,
Oral
init,
... contre joues. Nous bossions, nous voulions être les meilleurs. Evidemment la prof avait du remarquer quelque chose car elle nous changea de place. Pour moi ce fut un vrai déchirement. Sans que je sache pourquoi, ce déplacement me parut injuste et il me mit mal à l’aise. Je n’osais plus parler à Marin qui, sans m’éviter, ne me donnait aucun signe de sympathie. Mes résultats se maintenaient mais je n’avais plus du tout le même entrain. Alors un jour, je demandais à Marin si ça ne lui disait pas qu’on bosse ensemble de temps en temps en dehors des cours pour continuer à progresser. J’avais eu un peu de mal, je ne sais pas pourquoi, à lui demander mais il accepta tout de suite en me souriant. Et voilà c’est comme ça qu’on a commencé à se voir le mercredi après-midi. J’arrivais chez lui vers 15 heures, je repartais à 18 heures. On ne faisait pas que du latin, on en profitait pour bosser d’autres matières. Comme j’étais bon en math je l’aidais. C’étaient des moments de grande concentration. En général, on faisait ça chez lui car il avait un grand bureau. Contrairement au mien, on pouvait bosser à deux dessus. Mais comme en latin quand on nous laissait nous mettre l’un à côté de l’autre, on avait tendance à beaucoup nous rapprocher. En réalité, on passait l’après-midi quasiment sans bouger, en contact permanent, et on bossait bien. Comme ça nous réussissait, le rendez-vous du mercredi à commencé à devenir régulier. Parfois je venais le mardi soir. On faisait nos devoirs courants ...
... jusqu’au dîner et ensuite on allait dans la salle de télé regarder un film. Instinctivement quand on n’était que tous les deux, on s’asseyait côte à côte. Après le film, on se couchait pour nous lever tôt le mercredi. Avec lui j’avais vraiment envie d’être sérieux. Et aussi de bosser pour qu’on soit l’un près de l’autre. Quelque chose d’un peu bizarre se passait. J’avais beau être à fond dans le boulot, je ne pouvais plus ignorer certaines érections quand nos visages se frôlaient ou que nos cuisses ne décollaient pas l’une de l’autre. Je ne pouvais pas ignorer ses quelques apparitions dans des rêves érotiques ou au cours de masturbations. Mais c’était furtif et très facilement recouvert par des images de filles. Seulement j’avais de plus en plus de mal à me concentrer quand on était ensemble. C’était terrible car j’avais peur que si on ne bossait plus aussi bien, on ne puisse plus justifier de continuer à se voir. Et j’étais de plus en plus impatient à chaque fois d’aller chez lui. Il faisait comme si de rien n’était. Je passais des après-midi entières, contre lui, à essayer de chasser des pensées de plus en plus envahissantes pour pouvoir me concentrer. Le soir quand on se couchait, lui dans son lit, moi sur le matelas au pied du sien, j’avais de plus en plus de mal à ne pas le regarder enlever ses vêtements, baisser son slip et passer le bas de pyjama. Il me donnait l’impression de prendre son temps, je regardais son ventre, le pli de l’aine sans avoir aucune autre idée. Plus ...