-
Marin
Datte: 10/09/2018, Catégories: hh, école, intermast, Oral init,
... tard quand nous étions dans le noir, je ne pouvais m’empêcher de me caresser en me rappelant cette partie de son corps, tout en essayant de chasser de mon rêve son sexe que j’avais à peine entrevu. Entre nous, il n’était pas question de toutes ces discussions que j’avais avec mes copains déconneurs, on abordait toujours des sujets sérieux. Malgré l’allumage constant de contre-feux je me masturbais de plus en plus en pensant à lui mais jamais jusqu’au bout si bien que je ne faisais pas grand cas de cette évolution. Mais on se voyait toujours autant. Et comme nos résultats à tous les deux allaient en s’améliorant on (nos familles) favorisait bien sûr nos rendez-vous. Aux vacances de Pâques on nous proposa même d’aller une semaine travailler dans la maison de sa grand-mère en Bretagne. Pour une fois que j’avais un copain sérieux. Arrivés là-bas nous nous sommes mis au boulot dans la grande chambre qu’on nous avait attribuée. Sa grand-mère était une femme très gentille qui était perpétuellement par monts et par vaux, elle nous fichait une paix royale. Avec Marin c’était la grande entente. On travaillait bien et le reste du temps on se baladait, on allait à la plage. Nous étions de plus en plus proches. Pour ne pas déranger sa grand-mère le soir, elle nous avait autorisé à mettre la télé dans notre chambre. Mais ça caillait vraiment. Alors nous la regardions sur son lit. Et là aussi nous éprouvions le besoin d’être épaule contre épaule. Un soir il s’est endormi. Je me tournai ...
... vers lui, le regardai longtemps, regardait son pantalon de jogging, respirait son odeur, et tout d’un coup j’eu une envie de l’embrasser, de le serrer contre moi, de lui baisser son pantalon. C’était horrible ce qui m’arrivait. Jamais je n’avais éprouvé une telle chose. Je suis resté comme ça plus d’une demi-heure. L’envie ne passait toujours pas. J’avais peur qu’il se réveille, qu’il voit la tâche humide qui apparaissait sur mon pantalon de pyjama et la bosse qui ne dégonflait pas. Je n’arrivai pas à bouger pourtant. Je savais bien qu’il fallait que j’éteigne la télé et que j’aille dans mon lit mais quelque chose de plus fort que moi a pris le contrôle. Sans savoir ce que je faisais je me suis approché de son cou, j’ai respiré cette odeur que j’aimais tant, cette peau fine et douce et je l’ai embrassé. Je suis resté longtemps dans son cou. Je crois qu’il ne dormait plus. Sa respiration s’était accélérée. Il avait cette petite rougeur aux joues des jours de travail. Et son pantalon a lui aussi faisait une bosse je crois (j’étais pas sûr). J’avais envie de la toucher. Mais c’était allé trop loin et dans une espèce de geste de survie je suis allé aux toilettes. Quand je suis revenu, il était sous les couvertures. J’ai éteint la télé et me suis couché. Silence dans la pièce. Il ne dormait pas. Soudain il a dit « tu dors ? ». J’ai fait « non ». — tu veux venir dans mon lit ?— quoi ?— tu veux venir dans mon lit ?— oui si tu veux J’ai attendu un peu vainement de débander et j’ai couru ...