1. Natasha & Franck (1)


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Transexuels

    ... En fait, voilà ; les gens qui disparaissent de notre planète ont été enlevés pour ça : pour fournir de l’énergie sur la vôtre ! ─ Quelle imagination… À mon tour d’en rester baba ! Très drôle, la planète Gynéka ! Bon, je me lance. En fait, je ne suis pas celle que tu crois parce que je suis Nathan, ou plutôt… sa sœur jumelle, Natasha, coincée dans le corps de Nathan. Voilà ce que je voulais que tu saches. ─ Ah, mince alors ! Du coup, tu n’as plus besoin de pomper mon énergie ? ─ Non, je n’en ai plus besoin… Mais par contre, j’en ai vraiment très envie ! Rassurée quant à ma réaction, Natasha se transforma en furie. Elle m’embrassa fougueusement, à tel point que je crus un moment qu’elle voulait m’arracher la langue. Mais elle ne s’attarda pas, et rapidement sa langue suivit une ligne le long de mon cou, puis de mon torse. Ses doigts ouvrirent promptement mon pantalon. Elle dégagea mon sexe qui luttait depuis un moment pour se frayer un chemin vers la liberté et l’engloutit sans autre forme de procès. Quel bonheur ! La bougresse était experte en la matière, et très vite je sentis mon gland pénétrer dans sa gorge. J’en avais les couilles en fusion. J’allais devoir relâcher un peu la pression… Je lui envoyai plusieurs giclées, lui rinçant ainsi le gosier. Je vis dans ses yeux comme un reproche mais la rassurai en lui affirmant que je lui versais là juste un premier acompte. Je la saisis par les cheveux et m’enfonçai encore un peu plus dans sa gorge, puis je la laissai respirer. ...
    ... Elle continua de jouer avec ma verge, alternant coups de langue vigoureux et masturbation, titillant le méat avec le bout de sa langue. Pas de doute, elle savait y faire et avait bon appétit. Afin de ne pas être en reste, je lui demandai quel rapport elle entretenait avec sa propre verge, beaucoup de transsexuelles ne supportant pas la présence de leur pénis et encore moins qu’on le leur touche. Mais Natasha était plutôt versatile, aussi ne vit-elle pas d’un mauvais œil ma proposition de s’allonger dans l’herbe pour un confortable soixante-neuf. Alors que je m’allongeais sur le dos, elle baissa son string et exhiba une fière et imposante bite. Je restai un instant admiratif. Au vu de sa menue constitution, sa bite semblait disproportionnée. Elle, si féminine de nature, je ne m’attendais à ce qu’elle ait un tel engin ! Et pourtant, par contraste, cela ne faisait que renforcer sa féminité, une féminité éminemment lubrique. Je flattai sa verge, caressai ses testicules parfaitement lisses. Elle était intégralement épilée, sa peau d’une douceur exquise. Tandis que je titillais le méat du bout de la langue, j’appuyai un pouce contre sa rondelle que je massai délicatement. Lui imprimant un mouvement circulaire, j’introduisis lentement le doigt dans ce petit trou qui semblait fort accueillant ; si accueillant que mon pouce s’enfonça sans trouver de résistance. Elle me caressait le dos et les épaules ; je pris entièrement sa verge dans ma bouche et jouai avec son bel organe. Elle passa ...
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