De Hervé à Vanessa, chienne soumise (38)
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
Transexuels
Midi. Une heure, UNE HEURE !!!! Mais où sont-elles ? Elles se touchent ou quoi ? À plusieurs reprises, j’ai posé la main sur la poignée, mais... Rien. Je suis retournée m’asseoir sur le lit puis la chaise d’Emile. Je m’admire dans le miroir de la salle de bain. Ce n’est pas moi. Le reflet me renvoie l’image d’une très jolie jeune femme à la chevelure couleur d’été. Je me regarde sous toutes les coutures, HIHIHI, je m’aime, MOUAK. Je me résous à attendre, à attendre. Soudain, Glagla ouvre la porte. — Mademoiselle Vanessa, votre reine vous attend en haut de la coupée. — Pas trop tôt, mais je me ravise, merci Gladys, ce fût long... — Quand tu verras ta princesse, tu comprendras. Allez, viens... Sa facilité de passer du vouvoiement au tutoiement est déconcertante, mais pour le moment je m’en fiche. Je sors de la pièce et suis ma Péggy. Je n’avais pas remarqué la transformation de Gladys. Elle est coiffée, habillée. Ouf, ses habits sont des plus sexy, voire provocants. Elle porte un mini short en lycra noir, ras du cul. Le haut n’est pas en reste. Elle a mis un tee-shirt qui lui tombe au-dessus du nombril. Il est sans manche et laisse voir la naissance de ses énormes seins. J’imagine un mec, ou une gonzesse, lui saisir ses seins par les côtés et les lui peloter tout en lui embrassant la nuque. Putain de merde ! Je bande ! Sa chute de reins, sa cambrure sont accentuées par des sandales à talons d’au moins dix centimètres. Et que dire de sa démarche... Je vous laisse imaginer. On ...
... arrive en bas de l’échappée qui va me mener à ma dulcinée. Elle me regarde, confiante et sûre d’elle. Elle me laisse passer devant et me tapote les fesses. Quand je vois Malika, ma princesse, je me bloque. Elle est... Je n’ai pas de mot. Ses cheveux, qui ont déjà repoussé, sont plaqués vers l’arrière. Elle porte une robe des années trente, des talons de dix centimètres. Sa cambrure et un appel à la bite. Mais oui, cela me revient. Ma chérie est une réplique de Joséphine Becker. Elle est d’une sveltesse féline, une panthère, une diablesse, une beauté sans nom. Son visage aussi. Ses sourcils ont été affinés, sa bouche savamment redessinée, ses pommettes chichement empourprées. Une beauté nègre à l’état pur, une incarnation des déesses de la sud-Egypte de l’antiquité. Une reine, la reine de Sabbat... — Malika, que tu es belle... — Hummm, tu n’es pas mal non plus. Allez, notre boat nous attend. Mademoiselle Gladys va nous accompagner. Pas d’objection ? — Euh, non... On embarque. On déambule dans les rues de Bonifacio. La petite Gladys dandine du cul devant nos regards amusés. Au détour d’une ruelle, j’aperçois une enseigne rose "peggy’s bar". J’éclate de rire, Malika aussi, Gladys est dubitative. Je la prends dans mes bras et lui explique : — C’est le surnom que je t’ai donné, Peggy... Tu as tout d’elle. Une vraie petite cochonne. — Mouais, mais j’aime assez... — Allez, on y va... Malheureusement c’est fermé. Ouverture à 21h00. Tan-pis. On s’égare dans la vieille ville. On entend ...