1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (38)


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Transexuels

    ... n’est que mon critère) qui lui remonte dans le cul. Lui, grand et fluet. Son dos et ses fesses ne font qu’un. Je passerais sur ses jambes, sur ses bras. On a dû l’oublier à la distribution des muscles. Par contre, au niveau du sexe, il n’a rien à envier au célèbre Rocco. Il est glabre, le contraire m’aurait étonné, les couilles pendantes semblent être encore pleines. Je regarde Gladys qui n’a d’yeux que pour ce qu’il pend entre les cuisses de Rémy. — Et comment s’appelle ta salope de mère ? Demande Malika. — Sabine... — Deux qui la tiennent et trois qui la pinent... Je souris. Je m’approche d’elle. Je laisse le jeune éphèbe à mes deux complices. Elles louchent sur ce jeune sexe, alors pourquoi leur en priver ? Je commence à lui caresser le nombril. Elle ferme les yeux (Euh, c’est un réflexe chez vous les filles. On ne peut pas vous donner de plaisir sans que vous les fermiez. Ouvrez-les comme vous écartez vos cuisses ou votre bouche...) et écarte les cuisses (paf, je vous l’avais bien dit). Elle s’appuie sur ses bras posés derrière elle. Elle essaie de gonfler sa minuscule poitrine. Je rigole intérieurement. Elle s’offre à moi. Mes deux chipies font de même. Pas une parcelle de son corps n’échappe à leur caresse. Il aime ça le petit salop. Il a les yeux ouverts et ne sait pas où donner du regard (la différence entre un mec et une nana). Quand ma main arrive sur ses œufs sur le plat, elle feule. J’insiste en lui pinçant ses jolis tétons. Je remonte une main et lui fais sucer ...
    ... un doigt. — Alors, on aime ? — Ouich... Han... Hummm... — Tu sais que tu es en train de succomber aux caresses d’une trans ? Elle écarquille les yeux, interrogative. Elle ne sait quoi penser, quoi dire. Je la regarde et l’embrasse d’un baiser fiévreux, à la limite du cannibalisme. Elle essaie de me prendre la nuque. Je repousse violemment sa main et la regarde tendrement. — Non, laisse-moi faire... Elle repose sa main derrière elle et se cambre. — Non, repose ton cul sur la table, apprécie, patiente... Regarde ton fils, il sait le faire, lui... Elle détourne le regard vers sa progéniture. Il est heureux, ça se voit sur son visage et au niveau de sa queue que mes salopes négligent intentionnellement. Elles le lèchent de partout. Le visage, le cou, le torse, le ventre, les cuisses et remontent. Il est au bord de l’apoplexie. Appuyé, comme sa mère, sur le rebord du bac à vaisselle, il la fixe. Malika et Gladys sont nues, moi pas. Je prends une main de Sabine et la pose entre mes cuisses. Elle a une réaction de recul. — T’inquiète, elle marche pareil à celle de ton fils... À une exception prés... — Hummm, oui, elle est énorme ! Ouiiiii, HAN, HUMPH !!! Et elle jouit sans s’arrêter de mater son fils... — Han, oui, continue... Humph... J’enlève mon short. Elle est... Euh, comment dirais-je... Attirée, fascinée par mon sexe. Choquée, certainement pas, elle se pince les lèvres. Je ne la laisse pas y poser ses mains. Je la tire au bord de la table et la prends d’un coup jusqu’à être en ...