De Hervé à Vanessa, chienne soumise (38)
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
Transexuels
... les téléviseurs diffuser leurs programmes. Gladys stoppe net devant des persiennes pas entièrement rabattues. Il est vrai que l’on entend les habitants de cette maison de village s’adonner à une occupation peu orthodoxe. La nana gueule son plaisir et le mec l’insulte. Des "prends ça grosse pute", "tu aimes quand je t’encule" et je vous en passe et des meilleurs. On est là, comme trois mateuses essayant de voir, d’apercevoir. Ils sont à moins d’un mètre. Le mec est un très jeune freluquet (l’âge de la maturité, j’espère), maigre, un fil de fer, mais avec un très, très joli membre. La nana, beaucoup, beaucoup plus vieille que lui. Elle doit avoir la quarantaine bien sonnée. Je peux les voir. Ils sont beaux. Lui en train de tout donner, comme si sa vie en dépendait. Elle, transpirante, se tient au bord de la table comme elle peut. Le coït anal est superbe. Il ressort à chaque fois et se plante dans l’anus de sa rombière. Il exulte, il jouit en criant des noms que la décence ne me permet pas de dire ici (LOL). Il est beau, elle est magnifique. Il reste bloqué bien au chaud dans ce fondement offert. — Merci, maman... Pfiouffff. J’adore ton cul. Il se penche et l’embrasse fiévreusement. On a compris toutes les trois. C’est d’un rapport incestueux que l’on vient d’assister. Quand il tourne la tête, il s’aperçoit qu’il est observé. Observé par trois charmantes créatures. — Rémy ? Qu’est-ce que tu fous ? Lui dit sa mère. — Attends, maman, il me semble que l’on a des voyeurs... ...
... Regarde... Elle tourne la tête vers nous et nous sourit. Elle nous fait signe de rentrer. On se regarde, on hésite. Le jeune garçon saute sur la porte et nous ouvre. — Rentrez, vous n’allez pas rester dehors ! Nous dit-elle. — Oui, entrez, et mettez-vous à l’aise... Renchérit le p’tit mec. Elle ferme la fenêtre. Le jeune, Rémy, ferme la porte avec un sourire carnassier. Il bande encore. Normal, à son âge. Elle, en bonne maîtresse de maison, nous sert un limoncello glacé et engage la conversation : — Ça fait longtemps que vous nous matez. Dit-elle en s’asseyant sur la table. — Assez longtemps pour savoir que ton fils te monte... Je lui réponds en la tutoyant. Et vous n’êtes pas à votre coup d’essai. Je me trompe ? Elle est embarrassée. Le rouge lui monte aux joues. Le p’tit jeune essaie d’intervenir : — Ça fait deux jours que... Je l’interromps : — C’est à ta mère que je parle, compris ! — Oui, madame. Malika et Peggy (c’est mignon, vous ne trouvez pas ?) étouffent leur rire. Je déshabille du regard la mère et le fils. Elle, de corpulence moyenne, avec des rondeurs qui lui vont bien. Des cheveux d’un noir puissant lui tombent jusqu’au-dessous des fesses. Elle à des yeux sombres, plus que ma chérie. Ses seins sont petits, mais alors tout petits. Des seins de préadolescente. Ses tétons, par contre, sont fiers. Ils ne demandent qu’à être mal traités. Elle doit mesurer un mètre soixante-cinq. Ses hanches sont bien dessinées, son cul est bien plein, rebondi. Elle a une touffe horrible (ce ...