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Petite fable érotique
Datte: 13/09/2018, Catégories: f, fh, ff, hplusag, fplusag, Collègues / Travail contes,
... vers 18 h 30, il était presque vide. Mon boss resta au téléphone un bon moment avant de me recevoir : une de ses conférences téléphoniques interminables. Il referma la porte de son bureau derrière moi et me regarda de haut en bas avant de m’inviter à m’asseoir. Comme il bougeait peu et était vieux, il mettait son chauffage à fond dans son bureau. Je n’aimais pas son regard glauque et pervers sur moi. Cet homme me semblait toujours à deux doigts de baver. Je ne m’étais pas recoiffée et mes vêtements amples et mon écharpe ne laissaient rien deviner de mon corps. Il prit la parole et paria avec moi que je venais de passer mon après-midi en entretiens d’embauche et que je venais négocier une démission rapide. Aussi, quand je lui dis que l’objet de ma demande portait sur une avance sur salaire, son regard changea de passif à brillant. Et quand il me demanda la raison liée à ma demande, je ne pus faire autre chose que fondre en larmes. Je ne lui expliquai ma mésaventure sur la vente de ma voiture, sans lui donner aucun détail. J’avais hyper chaud et transpirais. Il acquiesça, prenant tout son temps. Puis il m’invita à retirer mon grand pull de laine, ce que je fis avec plaisir. Son bureau était surchauffé comme toujours. Je n’avais pas remis de soutien-gorge et il devina la forme de mes petits seins sous mon tee-shirt blanc. De plus, en retirant mon gros pull, j’avais dévoilé un angle de mon petit ventre blanc. Bien sûr, j’avais tiré sur mon tee-shirt pour tout recouvrir, mais ...
... je crois que ce fut un élément déclenchant. Son regard pervers sur moi me figea. Et mes petits tétons se mirent à pointer. Je sentais tout cela arriver au ralenti, mais ne pouvais rien faire. Il m’avoua avoir toujours cherché à deviner mon corps sous les vêtements trop grands pour moi. Il me dit qu’il n’était pas déçu de la beauté de mes petits seins. Son regard était plus que glauque et je ne sais expliquer pourquoi, mes tétons se tendirent comme jamais. Quand il m’invita à les lui montrer, un frisson me parcourut. J’avais besoin de cette avance sur salaire. La banquière m’attendait de pied ferme le lendemain matin. Je n’avais besoin que de la signature de ce vieux pervers. Alors oui, je relevai lentement mon petit tee-shirt devant lui et me caressai les tétons pour calmer le mal qu’ils me faisaient. Il me demanda d’expliquer mon excitation et je ne fus incapable lui en donner la raison logique, approfondissant ainsi le trouble dans lequel je me trouvais. Alors, il me demanda de défaire mes jeans et de me caresser sous ses yeux. Il fit suivre cette demande par l’affirmation qu’il ne me demanderait rien d’autre que de me voir jouir sous ses yeux. Il rigola jaune en me disant qu’il n’avait pas de viagra à son bureau. Il semblait honnête et j’avais besoin de sa signature. Et pour tout dire me caresser devant ce pervers était une idée qui ne me faisait pas peur. Voir, me montrer, une idée qui me séduisait et me faisait plaisir. Pour ne pas dire : qui me faisait envie ! Ma seule ...