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Petite fable érotique
Datte: 13/09/2018, Catégories: f, fh, ff, hplusag, fplusag, Collègues / Travail contes,
... cachaient mes petits seins. Elle regardait aussi mon entrecuisse recouvert en partie par le peignoir. Je m’étais mal assise sur le canapé et une de mes petites cuisses était totalement nue. Mon histoire déballée entre deux pleurs ne laissa pas la banquière insensible. À la fin du récit, elle me confirma que je n’étais qu’une petite gourde et que la seule chose que je méritais était une fessée. Elle tapa sur ses cuisses, m’invitant à venir allonger sur ses cuisses, sur le canapé. Ce que je fis un peu comme un automate. Elle releva le peignoir sur mes hanches mettant mes fesses à nue. Puis, elle commença à frapper mes petites fesses longuement avec fermeté et assurance. Une confusion générale me remplit à nouveau la tête. Je devinai mes fesses toutes rouges, moi qui ai une peau si fine et si blonde. Sa fessée se fit moins forte quand ses mains se mirent à descendre de mes fesses pour frapper mes petites cuisses. Elle écarta mes jambes et me fit un peu descendre de façon à ce qu’elle puisse venir tapoter de ses deux doigts mon petit sexe tout trempé. Elle me donnait maintenant une petite fessée clitoridienne. Et pour finir de me punir, ses doigts entrèrent en moi sans ménagement, prenant ensemble mon anus et mon sexe dans des allers-retours endiablés et profonds. Mon humiliation était totale et je ne pus contenir plus longtemps mes petits halètements, ni empêcher ma respiration de se couper, ni mon corps de se tendre, ni les spasmes m’envahir complètement. Les noms d’oiseaux ...
... volèrent autour de moi et être traitée de tous les noms eut sur moi un effet tel, que je pense n’avoir jamais joui avec une telle intensité de toute ma vie. Je ne pus retenir un cri quand la crampe magique déferla sur moi. Les doigts de ma banquière restèrent en moi le temps que les spasmes se calment, alors qu’elle continuait à me dire à quel point j’étais sotte. La honte ne m’avait pas quittée. Quand elle me sentit plus calme, la banquière me fit lever. Mes jambes flageolaient. Elle se leva à son tour et, yeux dans les yeux, elle me menaça d’interdit bancaire si demain, je n’avais toujours pas remis mon compte à flot. Comme toujours, elle termina sa douche froide par une douche chaude. Elle me donna pour conseil de demander une avance sur salaire à mon patron et de la contacter demain matin à la première heure. Puis elle me serra fort contre elle, contre ses gros seins. La magie de sa douceur réconfortante fut le meilleur des calmants. Elle disparut comme elle était arrivée. Être à découvert me mettait à la merci de plein de problèmes et de gens mal intentionnés. *** Je mis un certain temps à me remettre de toutes ces émotions et bus deux verres de vin blanc de la bouteille qui traînait dans mon frigo depuis des mois. Je trouvais la force d’appeler mon vieux grigou de patron. Son assistante m’invita à le rejoindre au bureau d’ici 20 minutes, car il partait faire un audit en province le reste de la semaine. Le temps d’enfiler mes jeans et me voilà partie. J’arrivais au bureau ...