1. Petite fable érotique


    Datte: 13/09/2018, Catégories: f, fh, ff, hplusag, fplusag, Collègues / Travail contes,

    ... Converse et mes chaussettes. Il défit de ses gros doigts mes jeans et me les retira d’un coup, comme font les magiciens en retirant la nappe d’une table toute dressée sans casser un seul verre. Je lui rappelai que les judokas ne sont pas censés attaquer des personnes sans défense et il déchira en lambeau mon petit shorty et mon tee-shirt. J’étais toute nue et vulnérable devant de grand gaillard motivé. Je lui rappelai que les rugbymen étaient des gentlemen, mais il me répondit qu’il adorait baiser des petites salopes comme moi qui le faisais bander depuis des mois et qui l’excitais comme jamais. Je dois dire qu’il n’avait pas tort et que j’étais honnêtement cette fille-là. Les événements de la journée étaient là pour le prouver. Pourtant, j’avais un comportement, des agissements et un regard de Sainte-Nitouche. Mais avant de me défoncer, il me dit que mes yeux puaient le sexe et ma foi, il n’avait probablement pas tort. Il me dit que se faire défoncer par Musclor était une chose et sodomiser une autre. Et ma foi, il n’avait pas tort. Être à découvert me mettait à la merci de plein de problèmes et de gens mal intentionnés. *** Depuis lors, je vis en couple avec la femme enceinte à qui j’ai vendu ma petite voiture et nous avons trouvé un bel équilibre avec notre fils. ...
    ... Mon vieux patron libidineux m’a bien formée et aidée à passer tous mes diplômes jusqu’à l’expertise comptable. Je lui ai donné de grandes joies, au point que je fus sa seule et unique héritière. Il trouva la mort lors d’un de nos petits rendez-vous hebdomadaires. Crise cardiaque, alors que je me caressais dans la plus chère des lingeries qu’il m’ait jamais offerte. Une belle mort. Mon collègue de travail est mon associé dans mon cabinet comptable. Il travaille dur et déchire régulièrement la lingerie achetée par mon ex-patron. Il m’a présenté à pas mal de ses collègues rugbymen et je connais bien leurs vestiaires. À tel point, que je sponsorise le club désormais. Avec tout l’argent que je me fais et le capital hérité, je me suis constitué un patrimoine immobilier important. J’achète des immeubles délabrés pas cher que je fais rénover. Mon chef de chantier est un petit nerveux tatoué que j’arrive à calmer lors de nos nombreuses réunions. Le financement de mes appartements est assuré, à moindres frais par ma banquière, qui me convoque toujours autant. Elle est la marraine de notre fils. *** La morale de cette petite fable est qu’être à découvert vous met à la merci de plein de problèmes et de gens mal intentionnés. Certes. Mais que cela peut aussi vous apporter l’inverse. 
«12...6789»