1. Cervicale attraction


    Datte: 16/09/2018, Catégories: f, h, fh, couple, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, nopéné,

    ... déshabille et se glisse sous le duvet. Je la rejoins après m’être débarrassé de mes vêtements à la hâte. Elle se blottit entre mes bras et reste longuement immobile à profiter de l’impalpable, de l’indéfinissable qui nous réunit si mystérieusement. Enfin, apparemment convaincue que rien ne s’interposera entre nous, elle laisse ses mains courir sur ma peau. Quelques sensations reviennent à la surface, au fur et à mesure que ses doigts redécouvrent mon corps et ses moindres secrets. Elle ne se refuse rien. Sans hâte, mais avec une tendre détermination, elle reprend possession de ce qui lui appartenait si intimement autrefois. A-t-elle souvent songé à nos ébats, au cours de cette trop longue absence ? Comment imaginer autrement qu’elle arrive si facilement à raviver tant de sensations qui n’appartiennent qu’à elle. Ces gestes infimes qu’aucune autre femme ne m’a jamais offerts. Ces caresses que je n’ai plus laissé aucune autre femme m’offrir depuis qu’elle m’a quitté. Tant de choses que j’ai voulu garder en friche, comme elle les avait abandonnées. Après une dernière et très douce attention pour mon sexe encore timide, elle s’allonge tout contre moi, cuisses légèrement écartées. Mes mains, que je peine à maîtriser, ont le souvenir précis de courbes et de rondeurs. Dès que je les pose sur elle, je réalise à quel point nos corps se sont transformés. Sa taille, si fine à l’époque, s’est élargie, son ventre s’est arrondi, les seins menus que je tenais facilement dans le creux de ma ...
    ... paume sont aujourd’hui plus pleins, alors que ses fesses ont pris une séduisante ampleur. L’extrême douceur de sa peau n’a en revanche pas changé. En outre, ce que je découvre en osant enfin la parcourir à pleine bouche, l’enivrant bouquet de ses parfums intimes, est resté le même. Je retrouve sous ses bras les légères senteurs que son excitation accentuait, au creux de ses reins le même arôme fruité, entre ses cuisses les mêmes effluves voluptueuses, à la naissance de ses fesses le goût si particulier de sa sueur intime. Troublé et séduit, je remonte le long de ses flancs, l’embrasse tendrement, la serre entre mes bras, allant jusqu’à glisser ma langue là où elle ne me permet pas encore de lui offrir plus. Elle se laisse faire, répondant même à mes caresses par de doux effleurements. Elle se laisse faire, mais rien dans son attitude n’indique qu’elle soit prête à s’offrir autrement. Rien ne transforme nos presque chastes caresses et nos baisers retenus en fougueux préliminaires. Nous n’en profitons pas moins longuement l’un de l’autre. Jusqu’à ce que, comblés, gavés de tendresse et d’émotions, nous finissions par nous endormir, étroitement enlacés. ooo000ooo Au petit matin, je la retrouve serrée contre moi, couchée sur le ventre. Mon premier geste est de relever ses cheveux pour mieux admirer sa nuque. Encore en demi-sommeil, elle se contente d’accompagner mes attouchements de petits gémissements que je considère comme un discret encouragement. N’a-t-elle pas avoué dans un ...
«1...345...»