1. Matin radieux


    Datte: 31/07/2017, Catégories: fffh, toilettes, douche, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, gifle,

    ... n’ai rien d’autre pour m’habiller que ma chemise que j’enfile et je baisse très discrètement la poignée de la porte pour voir ce qui se passe. Je ne sais pas si elle m’ont entendu, toujours est-il qu’elles font comme si elles étaient entre elles. Agnès est assise sur le bout du canapé, elle n’a que sa culotte sur elle. Les deux filles sont allongées sous le drap, la tête de Lucile reposant sur le bras de Sylvie. — Allez, rends-le moi, supplie Agnès.— Viens le chercher, répond Lucile, le sourire au lèvres.— C’est pas drôle !— Moi je trouve que si !— Tu fais chier !— Sois pas vulgaire ma chérie. Sylvie observe silencieusement la scène entre ses deux copines, qui se défient du regard. Je vois que la nuit n’a pas forcément adouci les mœurs. Soudain Agnès attrape le drap et le tire complètement dévoilant les deux beautés nues enlacées. Elle observe la situation et détecte un bout de tissu sous le dos de Lucile. Elle tire dessus, faisant apparaître son soutien-gorge disparu. Ce faisant, elle se met à genoux et Lucile profite de l’occasion pour la prendre dans ses bras et la coller contre elle pour essayer de l’embrasser. Agnès se retire brutalement. Après un moment d’observation pendant lequel les deux filles se défient du regard, Agnès se penche à nouveau, lentement, très lentement, pour récupérer le bout de tissu. Lucile ne bouge pas, puis au dernier moment lui passe la main entre les cuisses. L’effet est immédiat, Agnès lui délivre une taloche cinglante, du genre de celles ...
    ... qu’on délivre parfois sur le coup d’une colère irréfléchie à un gamin pris en flagrant délit en train de piquer dans le porte monnaie. La gifle a claqué sec sur la joue de la destinataire qui reste interdite quelques instants, visiblement vexée et tout cela dans un silence absolu. Tout à coup, Lucile lui rend son geste, ce qui me laisse pantois devant une telle bêtise de sa part. Aussitôt les filles s’empoignent les cheveux et luttent avec force cris. Agnès crache à la figure de son adversaire : — Salope, obsédée ! La situation aurait probablement rapidement dégénéré si Sylvie et moi ne les avions pas séparées avec vigueur. — Arrêtez bon sang, ça va pas la tête ? Vous n’allez pas recommencer !— Qu’elle arrête de me tripoter cette pouffiasse, elle est pas bien ! Va voir un psy, connasse !— Mais merde j’ai fait ça comme ça. Elle vient nous exciter, cette bonne sœur, à moitié à poil dans notre lit et après elle s’étonne ! C’est toi qui dois voir un médecin.— Ça c’est la meilleure ! Cette mauvaise foi ! Tu me piques mes fringues et puis… et… et puis, merde ! Et elle se retourne pour pleurer nerveusement dans mes bras. — C’est malin, dit Sylvie. Tu penses qu’à nous bousiller notre journée.— Oh ! Ça va ! Tu vas pas t’y mettre toi aussi ?— C’est vrai que tu es chiante avec elle, t’es toujours derrière. Je veux bien qu’elle ait plus de nichons que moi, mais c’est pas une raison pour l’agresser.— Tu vas pas me faire une crise de jalousie en plus ? Eh, dis donc : c’est bien toi qui l’a ...
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