Matin radieux
Datte: 31/07/2017,
Catégories:
fffh,
toilettes,
douche,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
gifle,
... sont elles qui font le spectacle, pas moi, n’en ratons pas une miette. Elle fait la maligne maintenant ? Et elle prend la direction des opérations ! Soit, laissons faire, après tout, il y a eu des situations plus difficiles à gérer dans ma vie ! La douche coule enfin, et les filles se passent mutuellement le savon. Elles nous font un show érotique, du plus classique qui soit, mais terriblement efficace, d’autant plus que ma voisine a ouvert ma braguette et glisse ses doigts directement sur mon slip qui n’en peut plus d’être aussi tendu depuis ce matin. L’élastique va finir par lâcher à ce rythme-là ! Les sensations sont délicieuses, et chauffé à blanc comme je le suis depuis quelque temps, je sens que je ne vais pas tenir aussi longtemps que mon slip. Mais tant pis ! Je suis fermement décidé à me laisser guider, pour voir jusqu’où elle peut aller… Jusqu’où elles peuvent aller ! Il est évident que si nous les voyons parfaitement dans leur numéro d’exhibition saphique, à l’inverse elles n’ont pas de difficultés à voir le sourire béat d’Agnès qui a maintenant sorti mon membre de sa gaine de coton ...
... et elles peuvent constater qu’elle me branle ouvertement d’un geste lent et régulier, presque en harmonie avec leur propres caresses. C’est au moment où Lucile s’est agenouillée pour entamer un probable cunnilingus que la conclusion inéluctable de mon doux supplice arrive. Je lâche plusieurs jets de sperme droit devant moi, intenses, violents qui vont s’écraser sur la table basse, et encore plus surprenant, une partie tombe dans une des tasses à café. Agnès se penche alors vers mon sexe, lèche les dernières gouttes pour le nettoyer. Elles m’embrasse aussitôt pour me faire partager le goût de mon sperme et annonce : — Ton café crème est servi. Elle prend la tasse maculée, y verse un peu du café qui reste, brasse le tout à la petite cuillère, goûte et me tend cet étrange breuvage. Lucile et Sylvie observent attentivement la scène et je sens que je ne peux que m’exécuter. Bien que légèrement écœuré par le goût de ce mélange étrange, j’arrive cependant à lâcher : — Il est parfait.— Eh bien après ça tu es mûr pour rencontrer Guillaume, lance Sylvie en applaudissant et en riant.— Ça promet ! dis-je.