1. Matin radieux


    Datte: 31/07/2017, Catégories: fffh, toilettes, douche, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, gifle,

    ... bousculant dans mon imagination. Alors que Agnès prend la suite, j’essaie d’aider les deux autres à ranger un peu le capharnaüm. Chaque tâche me donne la possibilité de contempler la poitrine de Lucile à travers l’échancrure de son peignoir de plus en plus lâche. Et plus torturant encore, Sylvie profite de toutes les occasions pour montrer ses fesses nues sous son tee-shirt relevé, et je suis persuadé que c’est rarement par hasard. Elle prend un malin plaisir à se baisser pour ramasser des objets imaginaires exhibant ainsi ses globes blancs et sa petite fourrure rousse. Nous avons fini rapidement et, pour attendre la sortie d’Agnès, Lucile propose un café. Nous nous installons, moi dans le fauteuil, elles sur le canapé qui fait face, pour déguster le petit noir. La conversation tourne autour de moi, de mon métier, pourquoi je suis ici, etc. Je dévoile ainsi quelques bribes de mon histoire personnelle. Tout ceci serait fort banal, si je n’avais une vue imprenable sur la chatte de Sylvie qui ne fait aucun effort pour la cacher, au contraire, et des flashs réguliers sur celle de Lucile, et bien entendu sur sa poitrine elle aussi de plus en plus dénudée. Les garces ont décidé de me supplicier jusqu’au bout, mais je suis bien résolu à résister, de ne pas céder trop à cette tentation, car je sais que mon heure viendra tôt ou tard. Agnès stoppe mon difficile combat en sortant de la salle d’eau, et je vois immédiatement sous le tee-shirt bleu de Lucile qu’elle n’a pas remis son ...
    ... soutien-gorge. Va comprendre ! — À nous ! lance Sylvie. Sers un café à Agnès, ça vous fera patienter. Elles se dirigent en chœur vers la douche, encore embuée et sentant bon l’univers féminin. Je sers un café à Agnès, m’installe à son côté sur le canapé, et c’est à ce moment là que je réalise que les filles ont laissé la porte ouverte pour qu’on puisse les voir. Je me serre contre l’épaule pour jouer les tendres, mais c’est surtout pour mieux profiter du spectacle, l’air de rien. Et le spectacle est beau et bien rôdé. Les deux filles s’enlacent tendrement avec affectation, nues dans le bac à douche ouvert, et s’embrassent avec ostentation et force caresses, sans même avoir pris la peine d’ouvrir le robinet. Agnès semble complètement tétanisée en les regardant, et soudain elle murmure : — Elles sont belles, non ?— Ben oui, on peut pas dire le contraire…— Elle te plaisent, hein ? Elles te font encore bander ? Et sans attendre ma réponse, elle pose la main sur mon sexe dur, sans cesser de les fixer. Je n’en reviens pas de son comportement, de ses actes contradictoires. Elle paraît toujours sur le recul et pourtant elle est capable de prendre des initiatives aussi surprenantes que celle-là. Entre le baiser à Lucile, le fait de ne pas mettre son soutien-gorge et ça, elle n’est pas aussi inhibée qu’elle veut le faire paraître. À croire que la douche a eu le même effet que sur moi. En guise de réponse, pour garder ma contenance, je me penche vers elle pour l’embrasser. — Tsst, tsst, ce ...
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