1. Sodomisé par mon étudiant (1)


    Datte: 18/09/2018, Catégories: Gay

    Chapitre 1 La rencontre Amjad. Il s’appelait Amjad. Comment ne pas le remarquer ? Quant mes étudiants de BTS sont rentrés dans la salle le jour de la rentrée, je n’ai vu que lui. 1,90 m, 95 kilos, la peau mate, le crâne et la barbe rasés mais tellement noirs que l’ombre en reste très marquée sur la peau, comme si elle avait été passée au cirage, bref très viril. Et une gueule magnifique. La bouche un peu grande peut-être et les lèvres un peu épaisses mais les dents d’une blancheur parfaite et parfaitement alignées pour illuminer son vaste sourire. Les filles ne voyaient que lui et bavaient littéralement de désir dès qu’elles l’apercevaient, et les mecs aussi n’apercevaient que lui, un véritable rival. Et moi ? N’y pensons pas ! D’ailleurs un de mes élèves, même majeur, c’est tabou ! Et puis avec 25 ans de plus que lui, qu’espérer ? En plus il était super sympa. Poli sans obséquiosité, serviable sans bassesse et, malgré un air de nonchalance au départ, très travailleur. Bref parfait ! Il vivait avec sa mère, son petit frère et sa petite sœur, leur père étant décédé et, ayant croisé sa maman lors de ces interminables réunions parents-professeurs qui ne servent à rien d’autre qu’à se faire engueuler quand on est élève sans repartir avec rien de concret, je m’étais demandé comment une si petite femme avait pu donner naissance à un tel molosse. Il fut bien sûr élu délégué de sa classe. Le projet des deuxièmes années consistait en la préparation d’un voyage à l’étranger. Les ...
    ... étudiants préparent tout de A à Z dans une contrainte budgétaire précise. Réservation des hôtels, billets d’avions, visites... tout. La destination choisie était le Royaume du Neukistan. Nous devions y passer dix jours. Nous partîmes donc avec deux de mes collègues féminines et nos 25 élèves. Mais, dès notre descente à l’aéroport, nous eûmes un problème. Les douaniers neukistanais ne sont pas réputés pour être les gens les plus rigolos du monde. Or, il apparaissait que Amjad avait sur son passeport les traces d’une destination où il était allé. Cela semblait poser problème, le pays en question n’ayant pas de bonnes relations diplomatiques avec le Neukistan. Ils décidèrent donc de le garder à la douane. Je ne pouvais faire autrement que de rester avec lui. Mais les douaniers me firent comprendre que dans ce cas, je subirais le même sort. Qu’importe, je restai. Je dis à mes collègues de ne pas nous attendre plus de 20 minutes car, après, nous avions une visite de programmée, avant même d’aller à l’hôtel, et nous risquions de la rater. Au pire, nous les rejoindrions en taxi. Nous fumes donc enfermés dans un local sans fenêtre. Nos valises furent vidées sans ménagement. On nous posa mille questions. Puis, on nous sépara pour nous réinterroger et on nous remit ensemble. Comme je m’impatientais, on décida de nous fouiller au corps. Puis on demanda à Amjad de se déshabiller. A nouveau je protestai devant ce que je jugeais comme humiliant. On m’ordonna donc de me déshabiller aussi. Je fis ...
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